Animal dans l'espace
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À l'origine on a envoyé des animaux dans l'espace pour tester leur capacité de survie lors de vols spatiaux, en vue de l'envoi futur d'humains (vols spatiaux habités). Par la suite ils ont servi à étudier différents processus biologiques, dont les effets de la microgravité et des rayonnements cosmiques. Ces études font désormais l'objet d'une discipline à part entière, la bioastronautique (en), un domaine de recherche en génie biologique.
Cet article est une ébauche concernant l’astronautique et la zoologie.
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En 2024, sept pays ont envoyé des animaux dans l'espace : les États-Unis, l'Union soviétique, la France, l'Argentine, la Chine, le Japon et l'Iran. Il s'est agi de mammifères (singes, chiens, chats, souris, rats, lapins), d'oiseaux (œufs de caille), de reptiles (tortues), d'amphibiens (grenouilles), de poissons (porte-épées, carpes koï), d'arachnides (araignées, scorpions), d'insectes (mouches, drosophiles, abeilles, frelons, papillons, cafards, phasmes, ténébrions, sauterelles), de cnidaires (méduses), de tardigrades et de vers (nématodes). Les plus nombreux sont les mouches (7 600), les méduses (2 479), les poissons (231), les chiens (47) et les singes (32). On a aussi envoyé des plantes (graines d'arbres, maïs, seigle, riz, salades, radis) et des organismes unicellulaires[1].