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archidiocèse catholique romain au Canada De Wikipédia, l'encyclopédie libre
L’archidiocèse métropolitain de Moncton est un archidiocèse catholique situé dans la province canadienne du Nouveau-Brunswick. Il a été érigé canoniquement le .
Archidiocèse de Moncton (la) Archidioecesis Monctonensis | ||
Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Moncton. | ||
Informations générales | ||
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Pays | Canada | |
Archevêque | Guy Desrochers, depuis 2023 | |
Superficie | 12 000 km2 | |
Création du diocèse | ||
Élévation au rang d'archidiocèse | ||
Diocèses suffragants | Bathurst Edmundston Saint-jean |
|
Adresse | 224 St. Georges, bureau 104, Moncton, NB E1C 0V1, Canada | |
Site web | Site de l'archidiocèse | |
Statistiques | ||
Population | 221 000 hab. (2021) | |
Population catholique | 111 000 fidèles | |
Pourcentage de catholiques | 50,2 % | |
Nombre de paroisses | 46 | |
Nombre de prêtres | 43 | |
Nombre de diacres | 5 | |
Nombre de religieux | 29 | |
Nombre de religieuses | 170 | |
Localisation du diocèse | ||
.html (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||
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L'archidiocèse de Moncton a été érigé le par la bulle Ad animarum salutem du pape Pie XI, à partir de territoires des diocèses de Chatham (aujourd'hui le diocèse de Bathurst) et de Saint-Jean[1]. Par la bulle Si qua sit, la province ecclésiastique de Moncton est créée. Établie en 1936, elle comprend comme suffragants tous les diocèses du Nouveau-Brunswick, à savoir :
L'archidiocèse couvre 12 000 km² et étend sa juridiction sur les fidèles catholiques de rite latin résidant dans les comtés d'Albert, de Kent et de Westmorland, dans le sud-est de la province du Nouveau-Brunswick.
Le siège de l'archidiocèse est situé dans la ville de Moncton, où se trouve la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
En 2021, l'archidiocèse comptait 46 paroisses.
L'archidiocèse à reçu la visite pastorale du pape Jean-Paul II en septembre 1984.
Le documentaire Le Silence, sorti en 2021, évoque les agressions sexuelles de prêtres catholiques perpétrées pendant des décennies. De nombreux prêtres comme Camille Léger à Cap-Pelé, Lévi Noël à Bathurst ou encore Yvon Arsenault ont agressé des centaines d'enfants. Des victimes de ces prêtres pédophiles décident de rompre le silence et s'expriment dans ce documentaire[2],[3]. L'archevêque Valéry Vienneau a refusé de s'exprimer dans le documentaire préférant garder le silence[4].
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