Séance de lutte
séance d’autocritique et de critique publique imposée par les maoïstes chinois à certains de leurs prisonniers sous le régime de Mao Zedong / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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La séance de lutte (chinois simplifié : 批斗大会 ; chinois traditionnel : 批鬥大會 ; pinyin : pīdòu dàhuì ; litt. « assemblée de critique par la lutte ») ou encore : jiǎntǎo[Quoi ?] (tibétain འཐབ་འཛིང་, Wylie : ‘thab-‘dzing, THL : thamzing, dialecte de Lhassa API : tʰʌ́msiŋ) est une séance d'autocritique et de critique publique imposée par les maoïstes chinois à certains de leurs prisonniers sous le régime de Mao Zedong, principalement pendant la révolution culturelle, jusqu'à sa fin, en 1978. L'objectif était de réformer la pensée ou d'humilier. Le terme séance de lutte ou de dénonciation est aussi utilisé[1],[2] ,[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10].
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La victime devait y avouer ses fautes (prétendues ou avérées) devant d'autres prisonniers qui l'accusaient, l'insultaient et la frappaient. La famille, parents et enfants, les amis pouvaient être obligés d'y participer en critiquant la victime. Cette torture pouvait durer des semaines et conduire au suicide[11],[12].