Économie de la Polynésie française
De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
L'économie de la Polynésie française, collectivité d'outre-mer française, est considérée comme une économie de pays développés du fait de son niveau de PIB par habitant. Le tourisme et la culture de la perle sont les principales activités économiques de ces îles. Certains déséquilibres constituent un handicap pour l'archipel : en 2014, le quart du pib provenait de cinquante entreprises, dont certaines en situation d'oligopole, qui détenaient 50 % du marché local dans 11 secteurs [6],[7]. D'autres secteurs restent néanmoins plus concurrentiels comme le petit et le gros commerce alimentaire ou l'hôtellerie. En 2012, le retard de développement par rapport à la métropole était estimé à 28 ans[4].
Davantage d’informations Monnaie, Année fiscale ...
Économie de la Polynésie française | |
Marché de Papeete | |
Monnaie | franc Pacifique |
---|---|
Année fiscale | année calendaire |
Organisations internationales | OMC, Forum des îles du Pacifique[1], CPS[1] |
Statistiques | |
Produit intérieur brut (parité nominale) | 599 582 000 000 XPF (2017)[2] |
Croissance du PIB | 2,3 % (2017)[3] |
PIB par habitant en PPA | 2 040 000 XPF (2014)[2] |
PIB par secteur | agriculture : 3,5 % (2005)[2] industrie : 20,4 % (2005)[2] services : 76,1 % (2005)[2] |
Inflation (IPC) | 3,4 % (2008)[2] |
Indice de développement humain (IDH) | 0,737 (2010)[4] |
Population active | 108 600 (2021) |
Population active par secteur | agriculture : 3,5 % (2008)[2] industrie : 17,2 % (2008)[2] services : 79,3 % (2008)[2] |
Taux de chômage | 9,5 % (2021) |
Commerce extérieur | |
Exportations | 701,7 millions XPF (mai 2019)[2] |
Biens exportés | produits perliers (dont perles brutes), noni, monoï, nacre, poisson, vanille[2] |
Principaux clients | Hong Kong 32,1 % Japon 25,8 % États-Unis 16,0 % France 14,9 % (2016)[5] |
Importations | 31 937,1 millions XPF (mai 2019)[2] |
Biens importés | produits énergétiques, biens d'équipement, produits des industries agro-alimentaires, biens intermédiaires, biens de consommation non alimentaires[2] |
Principaux fournisseurs | France 33 %, Singapour 13 %, États-Unis 10 %, puis dans l'ordre Chine, Nouvelle-Zélande, Allemagne Australie (2010)[2] |
Finances publiques | |
Dette publique | 8,2 % du PIB (2006)[2] |
Recettes publiques | 140 928 000 000 XPF (2006)[2] |
Dépenses publiques | 131 779 000 000 XPF (2006)[2] |
Aide au développement | Transferts financiers de l'État français 159 100 000 000 XPF (2006) |
Sources : 1. ↑ CIA factbook 2. ↑ ISPF 3. ↑ SEFI |
|
modifier |
Fermer