Atteint de troubles de la personnalité dans les dernières années de sa vie[6], il dut être interné en 1903 à la maison de santé de Perray-Vaucluse près de Sainte-Geneviève-des-Bois où il meurt un an plus tard à l'âge de 46 ans. Ses obsèques auront lieu sur place le [7]. Le lieu de sa sépulture est inconnu.
1946: Le Journal d'une femme de chambre (Diary of a Chambermaid), film de Jean Renoir d'après le Roman d'une femme de chambre, pièce d'Édouard Norès et Firmin Gémier (1903) tirée du roman d'Octave Mirbeau (1900)
1954: Les Gaîtés de l'escadron (Allegro squadrone), film italien de Paolo Moffa d'après la pièce de Georges Courteline et Édouard Norès (1895).
S'il n'avait pas collaboré avec Georges Courteline dans l'écriture de deux de ses pièces, Les Gaîtés de l'escadron en 1895[11] et Le Gendarme est sans pitié en 1899, le nom d'Édouard Norès serait sans doute, comme nombre de vaudevillistes de l'époque, tombé dans l'oubli. Depuis leur création, la reprise régulière de ces deux comédies tant au théâtre qu'au cinéma et à la télévision, continue d'entretenir la mémoire de leur co-auteur.
acte de décès n° 188 (vue 57/70). Archives départementales de l'Essonne en ligne, état-civil d'Épinay-sur-Orge, registre NMD de 1904. L'acte précise qu'il était célibataire.
Fils du chef de musique militaire Jules Cressonnois (1823-1883), frère de l'acteur et auteur dramatique Lucien Cressonnois (1856-1909), Paul Cressonnois (1849-1904) fut pendant plusieurs années le chef d'orchestre du théâtre de la Porte-Saint-Martin. Il est l'auteur de nombreuses musiques d'opérettes et de danses.