- : combats vers Malancourt. Puis stabilisation du front et occupation d'un secteur entre Béthincourt et Avocourt, étendu à droite jusqu'à la Meuse vers Forges[4].
- : front limité à droite à Béthincourt; à partir du , front limité à gauche à Malancourt.
20 - : attaques françaises sur le bois de Forges.
: combats.
: attaque allemande au bois de Malancourt.
1915
8 - : retrait du front et mouvement vers Souilly; repos[4].
- : mouvement vers le front par Les Islettes. À partir du , occupation d'un secteur dans la région de Massiges jusqu'à l'Aisne, réduit à droite le jusque vers Ville-sur-Tourbe[4].
14 - : retrait du front. À partir du , transport par V.F. de la région de Sainte-Menehould vers celle d'Épernay[4].
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la ferme des Marquises et le nord-est de Saint-Léonard[4].
9 - : occupation d'un secteur vers la butte de Souain, étendu à gauche le jusqu'à la ferme Navarin[4].
- : retrait du front. À partir du , transport par V.F. au nord d'Épernay[4].
- : mouvement vers le front et occupation du secteur de Reims entre le nord-ouest de Saint-Léonard et La Neuvillette[4].
1916
- : mouvement de rocade et occupation d'un secteur vers la ferme des Marquises et le nord-est de Saint-Léonard, déplacé à gauche, le entre le bois des zouaves et les abords est de Reims[5].
7 - : retrait du front; instruction vers Ville-en-Tardenois. À partir du , transport par V.F. vers Revigny; repos[5].
- : transport par camions dans la région de Verdun. Engagée dans la bataille de Verdun entre la Meuse et le bois d'Haudromont[5].
20 - : retrait du front et transport par V.F. vers Fismes[5].
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Soissons et Pernant[5].
- : retrait du front, puis à partir du , occupation d'un secteur vers Troyon et le moulin Pontoy[5].
- : retrait du front et transport à Toulouse; instruction[5].
- : au fur et à mesure du débarquement, mouvement vers les camps de Zeitenlik et de Toptchi; repos, travaux, instruction (éléments portés à Ekchisou)[5].
- : mouvement de toute la division vers Ekchisou et Banitsa; repos. Le , mouvement vers Jivonia, puis le retour vers Ekchisou et Salonique[5].
- : embarquement à Salonique à destination de la Grèce centrale (service d'ordre[5] lors de la prise de pouvoir d'Elefthérios Venizélos à Athènes).
- : transport par V.F. en Macédoine, dans la région de Boukovo; repos. En , occupation d'un secteur à l'ouest de Monastir, dans la région cote 1248, crête Bani Planina. Actions locales fréquentes[6].
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Le franchissement du Danube à Sistova et Nikopoli commence le au matin[7]. À partir du , la division fait mouvement vers Bucarest, la Dobroudja et la Bessarabie[6].
Et tous les services (compagnie de sapeurs mineurs, compagnie télégraphique, compagnie radio, 30egroupe sanitaire divisionnaire, 30eparc d'artillerie divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)
Gozé, «Les combats dans l'Est», L'Ancre d'Or, , p.27-36 (lire en ligne)
Bibliographie
Les armées françaises dans la Grande guerre (AFGG), vol.2, t.10: Ordres de bataille des grandes unités: divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092p. (lire en ligne).
Jean Bernachot, Les armées françaises en Orient après l'armistice de 1918 (AFO), vol.2: L' Armée du Danube, l'armée française d'Orient (28 octobre 1918 - 25 janvier 1920), , 447p. (lire en ligne).