Affaire des assistants parlementaires du Mouvement démocrate au Parlement européen
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L'affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen est une affaire politique et judiciaire portant sur des soupçons d'emplois fictifs concernant les assistants parlementaires des députés européens du parti français Mouvement démocrate (MoDem) siégeant au Parlement européen. Cette affaire débute en 2017 durant les premiers mois de la présidence d'Emmanuel Macron alors que le MoDem, principal allié d'En marche, a obtenu plusieurs postes de ministres et de nombreux députés à l'Assemblée nationale permettant la formation d'un nouveau groupe parlementaire formant partie de la majorité. Elle fait également suite à l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national, débutée en 2012, et portant sur des accusations similaires.
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Les députés européens sont soupçonnés d'avoir employé ces assistants pour servir les intérêts de leur parti sans travailler réellement sur les dossiers européens. Dans le cas où ces accusations seraient fondées, cela correspondrait à des emplois fictifs financés par le contribuable européen, constituant un délit.
Après six ans d’instruction, le procès s'ouvre en octobre 2023. En première instance en février 2024, François Bayrou est relaxé, Michel Mercier, Jean-Luc Bennahmias, Janelly Fourtou, Bernard Lehideux, Anne Laperrouze, Alexandre Nardella, Jean-Jacques Jegou sont condamnés à des peines de prison avec sursis, à des amendes et des peines d’inéligibilité. L'Union pour la démocratie française et le MoDem sont condamnés à des amendes. Le parquet fait appel des relaxes de François Bayrou, Stéphane Thérou et Pierre-Emmanuel Portheret.