Crise anglophone au Cameroun
conflit armé dans les régions anglophones du Cameroun depuis 2017 / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Crise anglophone au Cameroun?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
La crise anglophone au Cameroun est un conflit armé en cours depuis 2017 dans les deux régions anglophones du Cameroun, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, opposant le gouvernement à divers groupes séparatistes. Ce conflit éclate après la répression par le pouvoir central des manifestations qui se déroulaient depuis 2016 dans ces régions, où les revendications corporatistes des avocats et enseignants basculent progressivement vers des revendications sécessionnistes fortes en raison des réponses jugées insuffisantes du gouvernement, du refus d'ouvrir un débat sur le retour au fédéralisme et de nombreuses violations des droits humains par les forces de sécurité.
Cet article concerne une guerre en cours.
Ces informations peuvent manquer de recul, ne pas prendre en compte des développements récents ou changer à mesure que les combats progressent. Le titre lui-même peut être provisoire.
N'hésitez pas à améliorer cet article en veillant à citer vos sources.
La dernière modification de cette page a été faite le 16 avril 2024 à 19:55.
Date |
– en cours (6 ans, 7 mois et 1 jour) |
---|---|
Lieu | Région du Nord-Ouest et Région du Sud-Ouest, débordements dans la région du Littoral, la région de l'Ouest (Cameroun) et les territoires frontaliers du Nigeria |
Casus belli | Répression des manifestations de 2016-2017 au Cameroun. |
Issue | En cours |
Paul Biya Philémon Yang Joseph Dion Ngute René Claude Meka Valère Nka Joseph Beti Assomo Bouba Dobekreo Charles Alain Matiang |
Sisiku Julius Ayuk Tabe Samuel Ikome Sako Lucas Ayaba Cho Ebenezer Akwanga Général Transporter † Oliver Lekeaka † Capo Daniel Marianta Njomia Général No Pity Ivo Mbah † Autres commandants ... |
12 500 hommes (effectif total de l'armée)[2] | 2 000 à 4 000 hommes (en mai 2019)[3] |
800 à 1 000 morts (en février 2020)[4] | ~ 1 000 morts (en juin 2019)[5] |
Civils : au moins 6 000 morts (en janvier 2023)[6]
700 000 déplacés internes
63 800 réfugiés au Nigeria (en mars 2021)[7]
Batailles
Batailles et opérations
Attentats
Massacres
Depuis 2017, le conflit a fait 6 000 morts et plus de 700 000 déplacés, selon les estimations de plusieurs ONG. Les deux camps sont régulièrement accusés d'exactions et de crimes contre les civils par des ONG et l'ONU.