Famille royale de Grèce
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La famille royale de Grèce est une branche cadette de la famille royale de Danemark qui a régné sur le royaume hellénique de 1863 à 1924 puis à nouveau de 1935 à 1973.
(el) Ελληνική βασιλική οικογένεια
Type | Maison royale |
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Dénomination | (el) Ελληνική βασιλική οικογένεια |
Pays |
Royaume de Grèce (1863-1973) Crète autonome (1898-1906) |
Lignée | Maison d'Oldenbourg (branche de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg) |
Titres |
Rois des Hellènes Princes de Grèce et de Danemark |
Chef actuel | Paul de Grèce |
Fondation |
Élection au trône de Georges Ier |
Déposition |
et 1974 Déposition de Constantin II par la Dictature des colonels |
Ethnicité | Grecque (d'origine germano-danoise) |
Branche | Maison Mountbatten-Windsor |
Membre du rameau des Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, lui-même issu de la maison d'Oldenbourg, la famille royale de Grèce est une dynastie élue qui a donné six souverains à la Grèce ainsi qu’un haut-commissaire à la Crète autonome. Toujours représentée aujourd’hui malgré l’abolition de la monarchie en 1973-1974, la famille a également donné plusieurs reines et princes consorts à l'Europe, parmi lesquels le duc d'Édimbourg (époux de la reine du Royaume-Uni Élisabeth II) et la reine d'Espagne Sophie (épouse du roi Juan Carlos Ier).
Dynastie cosmopolite qui s'est ouverte aux roturiers après la Première Guerre mondiale, la famille royale de Grèce a souvent été critiquée à cause de ses origines étrangères. Décrite par certains historiens comme peu intelligente et terriblement conventionnelle, la dynastie hellénique a pourtant vu plusieurs de ses représentants s'illustrer dans le monde des arts (Michel, Théodora, Marína Karélla, etc.), du sport (Constantin II, Paul) ou des sciences (Marie Bonaparte, Pierre). Son bilan politique a par contre été beaucoup plus mitigé du fait d'un certain mépris du jeu démocratique et nombreux ont été les membres de la famille royale à subir les affres de l'exil et de la privation de nationalité.