J. M. G. Le Clézio
écrivain français et mauricien / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Jean-Marie Gustave Le Clézio, plus connu sous la signature de J. M. G. Le Clézio[1], né le à Nice, est un écrivain de langue française, comme il se définit lui-même[2],[3]. De nationalités française et mauricienne[4],[5], il est fortement imprégné par les cultures mauricienne[4] et bretonne de sa famille.
Naissance | |
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Nom de naissance |
Jean-Marie Gustave Le Clézio |
Nationalités | |
Formation | |
Activité | |
Période d'activité | |
Conjoint |
Jémia Le Clézio (d) |
Enfant |
Anna Jean (d) |
Membre de |
Comité de lecture des éditions Gallimard (d) (- |
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Mouvement | |
Genre artistique | |
Distinction |
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Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, Le Procès-verbal (1963). Jusqu’au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman[6]. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l'onirisme et au mythe (Désert et Le Chercheur d’or), ainsi que des livres à dominante plus personnelle[7], autobiographique ou familiale (L'Africain). Il est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages de fiction (romans, contes, nouvelles) et d'essais. Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 2008, en tant qu’« écrivain de nouveaux départs[8], de l’aventure poétique et de l'extase sensuelle, explorateur d'une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante[9] ». Son œuvre est traduite en 36 langues[10].