Sa peinture se détache de la facture byzantine en donnant aux personnages des poses plus «terrestres»[1], avec des détails «plus italiens», comme les pois sur la robe de la Vierge, poses et détails que reprend, cinquante ans plus tard, le peintre Margaritone.
Ses stylisations géométriques ont inspiré également Meliore di Jacopo.
La Vierge et Enfant en majesté, 60 × 90 cm, avec saillie de l'aura de la Vierge en haut du panneau. Conservée au musée de la Galerie des Offices de Florence, elle se situe, depuis 2007, dans la même pièce d'exposition des trois Maestà (de Duccio, Cimabue et Giotto).
La Madonna in trono con Bambino e due santi (1240 – 1245) initialement dans l'église Santa Maria a Bagnano, conservée aujourd'hui au musée d'art sacré de Certaldo.
Vierge à l'Enfant entourée de deux anges, Collection Cacault, Musée de Nantes[2],[3]
Crucifix peints
À la loggia del Bigallo de Florence.
Au palais Barberini de Rome
À L'Institut d'art de Chicago.
Bibliographie
(it) Angelo Tartuferi, Il maestro del Bigallo e la pittura della prima metà del Duecento agli Uffizi, Florence, Edizioni Polistampa, , 73p. (ISBN978-88-596-0226-2).
Henry-Claude Cousseau (dir.), Béatrice Sarrazin, Claude Allemand-Cosneau et Vincent Rousseau, Le Musée des Beaux Arts de Nantes, Paris, Musées et monuments de France: Albin Michel; Nantes: La Ville, coll.«Musées et monuments de France», , 125p. (ISBN978-2-226-05409-8, OCLC26476516), p. 13