Massacre de Vukovar
De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Le massacre de Vukovar est un crime de guerre qui a eu lieu entre le et le dans la localité d'Ovčara, près de la ville de Vukovar, à l'issue de la bataille du même nom.
Cet article présente des problèmes graves.
Vous pouvez aider à l'améliorer ou bien discuter des problèmes sur sa page de discussion.
- Il n'est pas vérifiable et peut contenir des informations totalement erronées. Il est fortement conseillé aux contributeurs d'étayer son contenu par des sources fiables. Sans cela, sa suppression pourrait être envisagée. (si vous venez d'apposer le bandeau, veuillez cliquer sur ce lien pour créer la discussion et en afficher les indications). (Marqué depuis novembre 2021)
- Il peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées. Vous pouvez l’améliorer en ajoutant des références. (Marqué depuis novembre 2021)
Cet article présente des problèmes à corriger.
Vous pouvez aider à l'améliorer ou bien discuter des problèmes sur sa page de discussion.
Cet article est une ébauche concernant la Croatie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Massacre de Vukovar | ||
Mémorial à Ovčara. | ||
Date | du au | |
---|---|---|
Lieu | Ovčara, Croatie | |
Victimes | Croates | |
Morts | 264 | |
Auteurs | Milices serbes | |
Participants | Armée populaire yougoslave | |
Guerre | Guerre de Croatie | |
Coordonnées | 45° 17′ 44″ nord, 19° 03′ 33″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Croatie
| ||
modifier |
Plus de 250 personnes, essentiellement des Croates (y compris des civils et des prisonniers de guerre), dont 194 ont été identifiés, ont été assassinés par des membres des milices serbes aidées par l'Armée populaire yougoslave (JNA), dont le journaliste Siniša Glavašević et son technicien Branimir Polovina ainsi que Jean-Michel Nicolier, un Français engagé aux côtés de l'armée croate.
Les chefs serbes Veselin Šljivančanin (en) et Mile Mrkšić furent condamnés par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie en 2007 2009 et 2010. Miroslav Radić (en), également inculpé, fut, quant à lui, acquitté pour ces faits. L'acte d'accusation liste les noms de 264 personnes âgées de 16 à 77 ans, dont une femme. Vingt-trois victimes étaient âgées de plus de quarante-neuf ans, soit l'âge maximal d'astreinte au service militaire en Croatie.