Ordre de succession à l'ancien trône des Deux-Siciles
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L’ordre de succession à l'ancien trône des Deux-Siciles réunit l’ensemble des personnes susceptibles de pouvoir prétendre aux titres de chef de la maison de Bourbon-Siciles et d’héritier du trône du royaume des Deux-Siciles, dissous et annexé par l'Italie en 1860-1861.
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À l'époque monarchique, sont éligibles à la succession au trône des Deux-Siciles tous les membres masculins de la maison de Bourbon-Siciles issus d’une union légitime et acceptée par le chef de famille. L’ordre successoral du royaume s’appuie en effet sur l’idée de primogéniture mâle (« loi salique ») et exclut l’ensemble des femmes et des enfants naturels ou issus de mariages morganatiques. Outre ces exigences généalogiques, les membres de la maison de Bourbon-Siciles doivent professer la foi catholique et renoncer à réunir les couronnes d’Espagne et des Deux-Siciles (traité de Naples de 1759).
Depuis 1960 et la mort sans héritier du prétendant Ferdinando Pio di Borbone delle Due Sicilie, la maison de Bourbon-Siciles est divisée en deux branches rivales (celle des ducs de Calabre et celle des ducs de Castro) et deux ordres de succession concurrents existent. Le premier nie la validité des renonciations du prince Carlos de Borbón-Dos Sicilias, infant d'Espagne, à ses droits au trône des Deux-Siciles (traité de Cannes de 1901) tandis que le second considère ces renonciations comme irrévocables.