Philip Levine[5] naît dans une famille d'origine juiverusse à Détroit. En 1933, son père, vendeur de pièces automobiles, meurt[6]. Il est élevé par sa mère, une employée de bureau.
Il est marqué par l'antisémitisme qui règne alors à Détroit, antisémitisme entretenu et diffusé par Henry Ford.
Il passe son enfance dans la ville de Détroit dans le Michigan, à une époque marquée par la Grande Dépression économique des années 1930[4]. Dès l'âge de quatorze ans, il doit travailler dans des usines automobiles parallèlement à ses études[7].
Levine publie ses premiers textes dans The New Yorker en 1958, puis son premier recueil de poèmes, On the Edge en 1961, qui lui vaut le prix Henry-Jackson[10], suivi de Not This Pig en 1968.
Il se fait connaître en particulier pour son traitement du sujet de la classe ouvrière[4].
What “What Work Is” Is: The Importance of Philip Levine, par Archambeau pour Samizdat Blog, 2015[32],
Philip Levine, U.S. poet laureate who wrote of working life, dies at 87, par Matt Schudel, pour le Washington Post, 2015[33],
Philip Levine, the 'Walt Whitman' of industrial Detroit, par Susan Whitall pour The Detroit News, 2015[34],
Philip Levine, a Poet of Grit, Sweat and Labor, Dies at 87, par Margalit Fox pour le New York Times, 2015[2],
An Appraisal: The Poet Philip Levine, an Outsider Archiving the Forgotten, par Dwight Garner pour le New York Times, 2015[35],
An Interview With Poet Philip Levine, menée par Sally Dawidoff pour Poets & Writers, 2008[36],
The Unwritten Biography: Philip Levine and Edward Hirsch in Conversation, interview menée par Edward Hirsch pour l'Academy of American Poets, 2001[37],
Philip Levine, interview menée par James Spalding pour la Cortland Review, 1999[38],
An interview with Philip Levine, menée par Wen Stephenson pour The Atlantic, 1999[39],
(en-US) RICHARD EDER, «The Riot That Found Its Threnody: THE BREAD OF TIME: Toward an Autobiography, By Philip Levine (Alfred A. Knopf: $23; 296 pp.)», Los Angeles Times, (ISSN0458-3035, lire en ligne, consulté le )
(en-US) Matt Schudel et Matt Schudel, «Philip Levine, U.S. poet laureate who wrote of working life, dies at 87», The Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )
(en-US) Dwight Garner, «An Appraisal: The Poet Philip Levine, an Outsider Archiving the Forgotten», The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
(en-US) RUSSELL FRANK, «The Poet of the Night Shift: Literature: For Philip Levine, it wasn't a long trip from factory work to writing some of America's best poetry.», Los Angeles Times, (ISSN0458-3035, lire en ligne, consulté le )