Risque pandémique lié à la grippe aviaire
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Les facteurs de risques pour l'extension de la grippe aviaire sont nombreux. Certains peuvent encore être inconnus. Le risque pandémique est le risque que survienne une pandémie. Il est d'abord lié à l'apparition d'un virus aux caractéristiques intrinsèques particulières.
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Il existe au moins trois facteurs de risque pandémique, intrinsèques aux virus, ici rappelés pour mémoire :
- Nouveauté du virus (l'homme et/ou d'autres espèces n'ont pas encore d'anticorps protecteurs contre lui, et aucun vaccin ne peut être disponible à court terme) ;
- Sa virulence (ce qui rend la maladie grave ; le fait que de nombreuses personnes soient malades, dont chez les soignants étant en soi un facteur aggravant de risque) ;
- sa contagiosité (incluant d’éventuelles contagions animal-homme et homme-animal).
Il existe donc une graduation du risque : un virus de la grippe saisonnière risque peu de provoquer une pandémie, alors qu’un virus de type H5N1, s’il devenait contagieux d’homme à homme, ou très transmissible dans une relation animal-homme-animal, sans perdre beaucoup de sa virulence présenterait un risque maximal.
Chaque facteur de risque est ici un élément susceptible de favoriser ou une pandémie, soit parce qu’il peut favoriser la diffusion épidémique d’un virus pandémique, soit par ce qu’il pourrait favorise l’acquisition de caractéristiques pandémiques chez un virus qui ne les possédait pas (mi 2006, le H5N1 reste toujours difficilement contagieux).
Les facteurs listés ci-dessous sont contextuels, c’est-à-dire qu'ils ne dépendent pas du virus lui-même, mais du contexte local et global, qui peut renforcer la propension du H5N1 (ou d'un autre candidat-virus à une pandémie) à se développer, à circuler, à muter, à infecter, à ne pas être rapidement détecté ou traité, etc. Ils ne sont pas limitatifs