Il est rétabli, sous la IIeRépublique, par le décret du . Il s’applique jusqu’à la fin du Second Empire.
La IIIeRépublique est «l’âge d’or» du scrutin d’arrondissement[7]. Son rétablissement, par loi du , est issu d’un amendement d’Antonin Lefèvre-Pontalis[8]. Un arrondissement pouvait toutefois élire plus d'un député, à raison d'un député par fraction de 100 000 habitants. Remplacé par le scrutin de liste par la loi du 16 juin 1885, il est rétabli le 13 février 1889 et s’applique jusqu’à la fin de la IIIeRépublique, excepté de à , période pendant laquelle s’applique la représentation proportionnelle.
[Aromatorio 2007] Sylvano Aromatorio, «l’absence traditionnelle du mode de scrutin dans la Constitution française: cause de l’instabilité chronique des modes de scrutin législatifs», Revue française de droit constitutionnel, no71: «», , p.2epart. (« Chroniques »), chron. no2 (« Droit constitutionnel institutionnel »), p.601-622 (DOI10.3917/rfdc.071.0601, résumé, lire en ligne, consulté le )