Université Rennes-II
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L'université Rennes-II (officiellement université Rennes-II Haute-Bretagne[4], nom d'usage université de Haute-Bretagne, puis Rennes 2)[alpha 2] est, avec l'université de Rennes, anciennement université Rennes-I, l'une des deux universités de la ville de Rennes dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne. Elle a été créée en 1970, issue de la faculté de lettres de l’ancienne université de Rennes dont l’origine remonte à la création de l’université ducale de Bretagne en 1460 à Nantes.
Nom admin. : université Rennes-II
Fondation |
---|
Type |
Université (EPSCP) |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président |
Vincent Gouëset (d) (depuis ) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants | |
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Effectif | |
Enseignants |
753[2] |
Budget |
106 millions d'€[3]2013 |
Pays | |
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Campus | |
Localisation |
Son campus principal est situé au Nord-Ouest de Rennes dans le quartier de Villejean, comme l’autre campus situé à La Harpe. Une antenne, qu'elle partage avec l'université Rennes-I, est située depuis 1991 à Saint-Brieuc sur le campus Mazier. Elle dispose également d'une implantation sur le campus de Ker Lann à travers l'un de ses laboratoires.
L'université est spécialisée dans les langues (étrangères et bretonne), les sciences humaines, les sciences sociales, le sport, les arts et la communication. Au total, elle forme 24 000 étudiants[6] (janvier 2016), répartis dans ses trois campus, dont 3 000 étudiants étrangers[7]. C'est le plus grand pôle de recherche et d’enseignement dans le domaine des sciences humaines et sociales dans l’Ouest de la France[alpha 3].
Les activités de l’université sont visibles au-delà de ses murs, notamment par les Presses universitaires de Rennes dont elle est à l’origine, par les activités des groupements disparus université européenne de Bretagne (PRES)[8] puis université Bretagne-Loire (ComUE)[9],[10] dont elle était cofondatrice, mais aussi par ses activités culturelles liées à celles de la ville de Rennes, notamment par l’accueil de festivals, ou par les activités de l'auditorium du Tambour.