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Élections départementales de 2021 dans la Marne
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Les élections départementales dans la Marne ont lieu les et .
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Contexte départemental
Résumé
Contexte
Précédentes élections
La Marne est considéré comme un bastion de la droite[1].
Lors élections départementales de 2015, la droite conserve sa majorité au sein du conseil départemental de la Marne : elle remporte 34 sièges (18 pour l'UMP, 8 pour l'UDI et 8 divers droite) contre 10 pour la gauche (dont 8 socialistes) et 2 pour le Front national. Le , René-Paul Savary, est réélu président du conseil départemental, soutenu par l'ensemble des élus de droite[2].
En , touché par la loi contre le cumul des mandats, René-Paul Savary choisit de conserver son siège de sénateur et quitte la présidence du conseil départemental. Christian Bruyen, maire de Dormans et premier vice-président du conseil départemental, lui succède[3].
Assemblée départementale sortante
Avant les élections, le conseil départemental de la Marne est présidé par Christian Bruyen (DVD). Il comprend 46 conseillers départementaux issus des 23 cantons de Marne.
Campagne départementale
En 2021, 80 binômes sont candidats aux élections départementales dans les 23 cantons de la Marne[4].
Christian Bruyen est candidat à sa réélection à la tête du département[1],[4]. Proche de Xavier Bertrand[5],[6], le président du conseil départemental n'est plus membre du parti Les Républicains[1]. Il mène cependant une coalition de la droite et du centre, « Ensemble pour la Marne », qui présente des candidats dans tous les cantons[1],[7]. Ses candidats sont parfois concurrencés par d'autres binômes de droite.
Dans 20 cantons, la gauche présente des candidats communs sous la bannière « Le Printemps marnais ». Cette coalition comprend notamment Europe Écologie Les Verts, Génération.s, La France insoumise, le Parti communiste français et le Parti socialiste. Néanmoins, dans six cantons urbains, des binômes de gauche affrontent ceux du « Printemps marnais » ; parmi ces cantons, quatre sont actuellement détenus par la gauche (Châlons-1, Épernay-1, Reims-2 et Reims-3)[8].
Le Rassemblement national, qui détient jusqu'alors un seul canton (Vitry-le-François), est présent dans 20 cantons. Enfin, le parti présidentiel La République en marche ne présente aucun binôme, même s'il compte deux candidats dans le département[8].
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Système électoral
Les élections ont lieu au scrutin majoritaire binominal à deux tours. Le système est paritaire : les candidatures sont présentées sous la forme d'un binôme composé d'une femme et d'un homme avec leurs suppléants (une femme et un homme également)[9].
Pour être élu au premier tour, un binôme doit obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de suffrages au moins égal à 25 % des électeurs inscrits[10]. Si aucun binôme n'est élu au premier tour, seuls peuvent se présenter au second tour les binômes qui ont obtenu un nombre de suffrages au moins égal à 12,5 % des électeurs inscrits, sans possibilité pour les binômes de fusionner[N 1]. Est élu au second tour le binôme qui obtient le plus grand nombre de voix[10].
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Résultats à l'échelle du département
Résumé
Contexte
Résultats par nuances
Les nuances utilisées par le ministère de l'Intérieur ne tiennent pas compte des alliances locales[13].
Assemblée départementale élue
Élus par canton
Au soir du 2nd tour des élections, la majorité sortante de droite se sort renforcée par la prise des cantons d'Epernay-1, de Vitry-le-François-Champagne et Der et de deux cantons rémois aux dépens de la gauche et du RN, ce dernier perdant ses seuls élus. L'opposition de gauche quant à elle se maintient dans deux cantons : Châlons-en-Champagne-1 et Reims-8.
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Résultats par canton
Résumé
Contexte
Les binômes sont présentés par ordre décroissant des résultats au premier tour. En cas de victoire au second tour du binôme arrivé en deuxième place au premier, ses résultats sont indiqués en gras.
Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Contexte local
Dans le canton d'Argonne Suippe et Vesle, Thierry Bussy et Valérie Morand (UMP) ont été élus en 2015 avec 38,20 % des voix dans le cadre d'une triangulaire avec un autre binôme de droite et le Front national[15].
Les deux conseillers sortants sont candidats à leur réélection[16] sous l'étiquette divers droite et affrontent un binôme du Rassemblement national composé de Valérie Berthelemy et Baptiste Philippo[17]. En parallèle de son mandat de conseiller départemental, Thierry Bussy est maire de Maffrécourt. Les remplaçants du binôme sortant sont les maires de Courtisols (Milène Adnet) et de Givry-en-Argonne (Antoine Bourguignon)[18]. Valérie Morand et Baptiste Philippo sont tous les deux conseillers municipaux de Suippes, après avoir mené sans succès des listes aux élections municipales de 2020[19].
Canton de Bourgogne-Fresne
Contexte local
Dans le canton de Bourgogne-Fresne, alors appelé « canton de Bourgogne », Monique Dorgueille et Éric Kariger ont été élus en 2015 avec 65,98 % face aux candidats du Front national[22].
Après avoir d'abord annoncé ne pas être candidat, Éric Kariger se représente aux côtés de Monique Dorgueille dans le canton, avec le soutien de la majorité départementale[23]. Ils ont pour remplaçants les maires de Loivre (Claudine Rousseaux) et de Warmeriville (Patrice Mousel)[24]. Ils affrontent toutefois un binôme soutenu par les partis de droite[25] formé par Franck Laudy (élu à Cormicy) et Anne-Sophie Romagny (maire de Bazancourt). Louis Dazin et Anne-Sophie Frigout sont candidats pour le Rassemblement national[25].
Canton de Châlons-en-Champagne-1
Contexte local
Dans le canton de Châlons-en-Champagne-1, Dominique Determ et Rudy Namur (PS) ont été élus en 2015 avec 59,60 % des voix face au Front national[27].
En 2020, Rudy Namur n'a pas réussi à faire basculer à gauche la mairie de Châlons-en-Champagne, rassemblant 26,41 % des voix face à la liste du maire sortant Benoist Apparu (53,17 %)[28]. En 2021, il est candidat à sa réélection dans le canton de Châlons-en-Champagne-1 sous l'étiquette du « Printemps marnais » avec une nouvelle colistière, Khira Taam, adjointe au maire de Fagnières. Denis Fenat, maire (EELV) de cette ville, est d'ailleurs le remplaçant de Rudy Namur[29].
Comme dans tous les cantons de Châlons-en-Champagne, le PCF présente son propre binôme[30] : Servane Francart et Didier Lasauzay[31]. Paulo Dias et Fatima Djemaî, tous les deux conseillers municipaux à Châlons, sont les candidats d'« Ensemble pour la Marne »[32]. Le Rassemblent national présente quant à lui des candidats tous originaires de Fagnières[33], dont Thierry Besson, tête de liste du parti aux dernières municipales[34].Canton de Châlons-en-Champagne-2
Contexte local
Dans le canton de Châlons-en-Champagne-2, Jean-Louis Devaux et Lise Magnier (UMP) ont été élus en 2015 avec 63,91 % des voix face au Front national[37].
En 2017, Lise Magnier est élue députée et démissionne du conseil départemental. Elle est remplacée par sa suppléante Chantal Choubat, maire de Juvigny. Chantal Choubat meurt en 2019 et une élection partielle est organisée pour la remplacer début 2020[38]. Au deuxième tour, l'élection est remportée par Sabine Galicher, maire divers droite de Vraux[39], qui réunit 74,64 % des suffrages face à Élodie Deniel du Rassemblement national[40].
Jean-Louis Devaux et Sabine Galicher sont candidats à leur réélection pour la majorité départementale (« Ensemble pour la Marne »)[7]. Leurs remplaçants sont le maire des Grandes-Loges (Guy Janson) et une adjointe au maire de Châlons (Floriana Paindavoine)[41]. Ils affrontent un duo du Rassemblement national (Jessica Derosiers et Laurent Diouris) et deux binômes de gauche[42] : celui du « Printemps marnais » (EELV-LFI-PS) représenté par Georges Castillo et Agnès Guyot[43] et celui soutenu par le PCF, qui présente ses propres candidats à Châlons-en-Champagne[30] (Emmanuelle Moissonnier et Francis Roy[42]).Canton de Châlons-en-Champagne-3
Contexte local
Dans le canton de Châlons-en-Champagne-3, Frédérique Schulthess et Julien Valentin (droite) ont été élus en 2015 avec 61,25 % des voix face à binôme du Front national[46].
Frédérique Schulthess et Julien Valentin (maire de Dampierre-sur-Moivre et président d'intercommunalité) sont candidats à leur réélection en 2021, pour la majorité départementale sortante[7]. Leurs remplaçants sont la maire de Mairy-sur-Marne (Catherine Pujol) et un adjoint au maire de Sarry (François Dommange)[47]. Face à eux, se présente un binôme du PCF (Zvonimir Jancar et Sylvie Lagille)[48], soutenu ici par l'ensemble de la gauche sauf le PS[49], ainsi que le binôme du Rassemblement national (Nathalie Buzot et Xavier Godwin)[48].
Canton de Dormans-Paysages de Champagne
Contexte local
Dans le canton de Dormans-Paysages de Champagne, Christian Bruyen et Françoise Férat (droite) ont été élus en 2015 dès le premier tour avec 50,03 % des voix devant des frontistes (36,29 %) et des communistes (13,68 %)[52].
Depuis les précédentes élections, Christian Bruyen est devenu président du conseil départemental. Sa colistière de 2015, la sénatrice Françoise Férat, n'est pas candidate à sa réélection après près de 30 ans de mandat[53].
Christian Bruyen est donc candidat aux côtés de Maryline Vuiblet, maire d'Igny-Comblizy. Leurs suppléants sont Régis Coutant, président de la communauté de communes des Paysages de la Champagne, et Katia Canot, conseillère municipale de Châtillon-sur-Marne[54]. Ils affrontent un binôme de l'union de la gauche (Véronique Dupont et Victorien Pâté du « Printemps marnais »[55]) ainsi qu'un binôme du Rassemblement national (Antoine Skafar et Gabrielle Vidal)[56].Canton d'Épernay-1
Contexte local
Dans le canton d'Épernay-1, Marie-Christine Bression et Dominique Lévêque (PS) ont été élus en 2015 avec 38,07 % des voix dans une triangulaire avec la droite (31,86 %) et le FN (30,07 %)[58].
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Canton d'Épernay-2
Contexte local
Dans le canton d'Épernay-2, Benoit Moittié et Sophie Signolle Gonet (UMP) ont été élus en 2015 avec 62,58 % des voix face au Front national[61].
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Canton de Fismes-Montagne de Reims
Contexte local
Dans le canton de Fismes-Montagne de Reims, Cécile Conreau et Philippe Salmon (UMP) ont été élus en 2015 avec 45,71 % des voix dans une triangulaire avec un binôme socialiste (28,80 %) et un binôme du Front national (25,49 %)[63].
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Canton de Mourmelon-Vesle et Monts de Champagne
Contexte local
Dans le canton de Mourmelon-Vesle et Monts de Champagne, Sylvie Gérard-Maizières et Alphonse Schwein (UMP) ont été élus en 2015 avec 62,45 % des voix face au Front national[65].
En 2021, Sylvie Gérard-Maizières et Alphonse Schwein sont candidats à leur réélection avec l'étiquette de la majorité sortante « Ensemble pour la Marne »[7]. Sylvie Gérard-Maizières est également conseillère municipale de Trépail tandis qu'Alphonse Schwein est un ancien maire de Vaudesincourt[66] ; leurs remplaçants sont le maire de Livry-Louvercy (Pascal Marchand)[66] et une directrice d'école de Val-de-Vesle[67] (Dorothée Sacy[66]). Les conseillers sortants affrontent un binôme du Rassemblement national, composé de Georgina Bazin et Christophe Morieux[68].
Canton de Reims-1
Contexte local
Dans le canton de Reims-1, Stéphane Lang et Stéfana Vuibert (UMP) ont été élus en 2015 avec 66,92 % des voix face au Parti socialiste[70].
Stéphane Lang, adjoint au maire de Reims délégué au quartier centre-ville[71], est candidat à un nouveau mandat. Sa colistière de 2015, Stéfana Vuibert, est candidate dans un autre canton (Reims-8, détenu par la gauche)[72]. À sa place, Fanny Lévy — écologiste et compagne du maire de Reims Arnaud Robinet — complète le duo de la majorité départementale[73].
Le canton de Reims-1 est le seul canton rémois où sont présents des candidats de la majorité présidentielle, avec Peter Lenfant et Hafida Incatasciato. La députée Aina Kuric, dont Peter Lenfant est l'attaché parlementaire, est suppléante[74]. Enfin, à gauche, Évelyne Bourgoin et Jérémy Stark sont candidats[75].Canton de Reims-2
Contexte local
Dans le canton de Reims-2, Hadhoum Belaredj-Tunc et Christian Bondza (PS) ont été élus en 2015 avec 54,99 % des voix face au Front national[77].
À l'approche des élections de 2021, la presse rapporte que les conseillers départementaux sortants ne s'étendent plus et comptent se présenter séparément aux élections[78],[79]. Hadhoum Belaredj-Tunc a quitté le Parti socialiste pour la Gauche républicaine et socialiste[78]. Avec Julien Asasi, elle représente le « Printemps marnais » lors des élections de 2021[80]. De son côté, Christian Bondza reçoit l'investiture du Parti socialiste avec Nathalie Malmberg, ancienne conseillère municipale de Reims[79]. Les candidats de la majorité départementale sont Christine Franzin, assistante parlementaire et conseillère municipale de Reims, et Claude Gachet, adjoint au maire de Reims pour les territoires Sud[81]. Enfin, le Rassemblement national présente Dominique Godbillion et Julie Peixoto[82].
Canton de Reims-3
Contexte local
Dans le canton de Reims-3, Albain Tchignoumba et Zara Pince (PS) ont été élus en 2015 avec 57,85 % des voix face au Front national[84].
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Canton de Reims-4
Contexte local
Dans le canton de Reims-4, Kim Duntze et Jean-Pierre Fortuné (UMP) ont été élus en 2015 avec 75,68 % des voix face au Front national[86].
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Canton de Reims-5
Contexte local
Dans le canton de Reims-5, Raphaël Blanchard et Amélie Savart (droite) ont été élus en 2015 avec 58,82 % des voix face au Front national[88].
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Canton de Reims-6
Contexte local
Dans le canton de Reims-6, Mario Rossi et Marie Simon Depaquy (UDI) ont été élus en 2015 avec 65,28 % des voix face au Front national[90].
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Canton de Reims-7
Contexte local
Dans le canton de Reims-7, Laure Miller et Vincent Verstraete (droite) ont été élus en 2015 avec 65,96 % des voix face au Front national[92].
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Canton de Reims-8
Contexte local
Dans le canton de Reims-8, Marie-Noëlle Gabet et Jean Marx (PS) ont été élus en 2015 avec 43,27 % des voix dans une triangulaire face à la droite (31,58 %) et au Front national (25,15 %)[94].
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Canton de Reims-9
Contexte local
Dans le canton de Reims-9, Marie-Thérèse Picot et Jean-Marc Roze (UMP) ont été élus en 2015 avec 64,74 % des voix face au Front national[96].
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Canton de Sermaize-les-Bains
Contexte local
Dans le canton de Sermaize-les-Bains, Charles de Courson et Françoise Loiselet (DVD) ont été élus en 2015 avec 58,86 % des voix face au Front national[98].
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Canton de Sézanne-Brie et Champagne
Contexte local
Dans le canton de Sézanne-Brie et Champagne, Danielle Berat et René-Paul Savary (UMP) ont été élus en 2015 avec 62,62 % des voix face au Front national[100]. En , René-Paul Savary (élu depuis 1985 et ancien président du conseil départemental) démissionne de son mandat de conseiller départemental. Il est alors remplacé par son suppléant, Cyril Laurent[101].
En 2021, Danielle Berat (maire de Vauchamps) et Cyril Laurent (maire des Essarts-le-Vicomte) sont candidats à leur réélection. Ils sont opposés à un binôme communiste, composé de Nathalie Mayance et Jean-Marie Vivenot (ancien maire du Vézier), et à deux binômes d'extrême-droite[102]. En effet, si le Rassemblement national investit Nicolas Delannoy et Céline Stéphan ; cette décision est critiquée par Sandrine Vignot (militante RN) et Thomas Adnot (conseiller municipal RN de Sézanne) qui les estiment « parachutés ». Sandrine Vignot et Thomas Adnot se présentent alors sous la bannière du « Rassemblement des patriotes de la Brie et Champagne »[103].
Canton de Vertus-Plaine Champenoise
Contexte local
Dans le canton de Vertus-Plaine Champenoise, Annie Coulon et Pascal Desautels (UDI) ont été élus en 2015 avec 57,93 % des voix face au Front national[105].
Les conseillers départementaux sortants sont candidats à leur réélection sous l'étiquette divers droite[102], avec le soutien de la majorité départementale[7]. Ils affrontent le duo communiste Serge Iseli et Françoise Menuge (soutenu par l'ensemble de la gauche[106]) ainsi que le binôme du Rassemblement national Sandrine Articlos et Jean-Louis Gouret[102].
Canton de Vitry-le-François-Champagne et Der
Contexte local
Dans le canton de Vitry-le-François-Champagne et Der, Michel Beneton et Edith Erre (FN) ont été élus en 2015 avec 34,78 % des voix dans une triangulaire face à la gauche (33,22 %) et la droite (32 %)[108].
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Notes et références
Voir aussi
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