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Étienne Louis Vital

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Étienne Louis Vital
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Étienne Louis Vital, né le à Martigné et mort le à Paris, est un général français de la Révolution et de l’Empire.

Faits en bref Naissance, Décès ...
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Origine

Il était fils d'Etienne Vital, grenetier à Mayenne, 1759, échevin, 1760, et de Joséphine de la Motte, et frère de Nicolas Vital, curé de Commer, avec lequel il avait hérité de leur frère commun René-François[1],[2].

États de service

Résumé
Contexte

Il entre en service le , comme élève à l’école d’artillerie et du génie de La Fère, et il passe sous-lieutenant dans cette école le . Le , il devient lieutenant en second à l’école du génie de Mézières, et lieutenant en premier (ingénieur ordinaire) le .

Le , lors de la campagne de Corse, il se trouve à l’attaque de Calenzana, et le 9 à celle de Moncale. Le , il assiste à l’attaque et au rétablissement de la redoute de Sainte-Catherine, sous le feu de l’ennemi, et à l’attaque de la tour de Cala-Rossa (en), en Balagne. Le 23 il fait partie d’une expédition avec le régiment de Bourgogne sur les villages voisins de la rivière Seccu, et les 1ers et , il prend part à l’attaque des tours et retranchement de Girolata et de Porto. Il reçoit son brevet de capitaine le , et il est fait chevalier de Saint-Louis le .

Il est nommé major directeur le , et il prend le commandement du génie à Nantes et à l’île d’Oléron en 1792. Il est élevé au grade de colonel le , et il assume les fonctions de directeur des fortifications à Brest. En 1794, il retourne en Corse, et il se retrouve pendant quarante jours au siège de Bastia, jusqu’à la reddition de cette place le .

Le , il est désigné pour la reconnaissance des côtes de Marseille à Savone, et il est promu général de brigade le . Le , il devient inspecteur général du génie, et le suivant, il commande le génie de l’armée d’Italie.

Le , il reprend les fonctions d’inspecteur général du génie, poste qu’il occupera pendant dix ans. Les paroissiens de Commer s'adressent au général pour obtenir le retour de leur ancien curé, déporté en Angleterre, [2].

Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le , et commandeur de l’ordre le .

Il est admis à la retraite le .

Il meurt le , à Paris.

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Sources

Liens externes

Notes et références

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