Top Qs
Chronologie
Chat
Contexte
André Boite
supercentenaire français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Remove ads
André Boite, né le à Argent-sur-Sauldre (Cher) et mort le à Nice, est un supercentenaire français.
Il devient le vice-doyen masculin des Français le , date de la mort de Jules Théobald, derrière Marcel Meys[1].
À partir du , il devient le doyen masculin des Français, à la suite de la mort de Marcel Meys[2].
À partir du , il devient le doyen masculin des Européens, après la mort de Stanisław Kowalski[3].
Remove ads
Biographie
Résumé
Contexte
Famille
André Boite est le fils d'Henri Boite, voyageur de commerce et marchand de volailles, originaire de Genouilly (Cher) et de Victoria Rouzé, femme de chambre, originaire de Châtres-sur-Cher (Loir-et-Cher), mariés à Vierzon en 1901. En 1947, il épouse Yvette Torrens (1922-2017) à Bouzareah, dont il a trois enfants (une fille et deux fils), au moins deux petites-filles, quatre arrières petites-filles et trois arrière-petits-fils.
Au fil des générations, le patronyme familial a changé plusieurs fois d'orthographe, passant de « Boete » à « Boite » et même à « Bouette », nom sous lequel André Boite est né avant qu'il soit rectifié par ordonnance du tribunal civil de Bourges le [4].
Carrière
En 1939, André Boite est peintre décorateur et réside à Paris au quartier des Ternes[5]. Engagé dans les corps francs durant la Seconde Guerre Mondiale, il est fait prisonnier de guerre et passe sa captivité en Bavière[6].
De 1966 à 2001, il dirige le syndicat d'initiative de Villefranche-sur-Mer[7].
En 2022, il est le deuxième plus vieux vétéran de la Seconde Guerre mondiale[8].
Il vécut à Nice[1], où il meurt[9] le [10] à l'âge de 111 ans.
Remove ads
Notes et références
Liens externes
Wikiwand - on
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Remove ads