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Cinémathèque d'Alger

musée en Algérie De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Cinémathèque d'Alger
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La cinémathèque d'Alger ou cinémathèque algérienne est un établissement public, subventionné par l'État, créé le [1],[2], disposant de dix salles de diffusion du répertoire à partir de la cinémathèque d'Alger qui permet le lancement des programmes quotidiens à travers le territoire national[3].

Faits en bref Fondation, Type ...
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Mission

La cinémathèque algérienne répond aux conditions et normes établis par la Fédération internationale des archives du film (FIAF) : elle récupère, rassemble, conserve et protège les films[4].

Historique

En , le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi a nommé le réalisateur et journaliste Salim Aggar à la direction de la cinémathèque d'Alger[5],[6]. Il occupe depuis ce poste.

Film documentaire

La réalisatrice franco-algérienne Jacqueline Messaouda Gozland retrace l'histoire de la cinémathèque d'Alger dans un documentaire intitulé Mon histoire n'est pas encore écrite, sorti en 2017'[7]. Ce «carrefour des arts situé entre l'université d'Alger, le Musée d'Art moderne d'Alger et le Théâtre national algérien»[8], fondé grâce à la volonté commune de Henri Langlois[9], Mahieddine Moussaoui et Jean-Michel Arnold[10], y apparaît comme un lieu culturel majeur, qui a contribué à l’essor d’une cinématographie nationale en Algérie[11]. Le film prend appui sur des archives et sur les témoignages de cinéastes et de critiques comme Jean Douchet, Sid Ahmed Agoumi, Farouk Beloufa, Ahmed Bejaoui, Lyes Meziani[12].

Notes et références

Voir aussi

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