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FF Creative Community
groupe indépendant de communication digitale. De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Fred & Farid anciennement FF Creative Community[2] est un groupe indépendant de communication digitale[3],[4] basé à Los Angeles, New York[5], Paris et Shanghai[6]
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L'agence est fondée en avec le soutien financier de Vincent Bolloré par Frédéric Raillard, Farid Mokart et Christophe Lambert.
Le groupe comporte deux agences intégrées (Fred & Farid New York-Shanghai-Paris, Kids Love Jetlag), une société de production Killdeath, un fonds d’investissement digital FFDIF, un média culturel digital BCKSTG[1], et FFK2, le groupe indépendant d’évènements connectés (après une fusion entre FF et K2)[7].
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Historique
Résumé
Contexte
Fréderic Raillard et Farid Mokart débutent respectivement leur carrière en tant que commerciaux à Paris[8]. Ils se rencontrent en 1996 chez Euro RSCG BETC et travaillent successivement en duo chez TBWA, BDDP/TBWA, Publicis Conseil, Leo Burnett, CLM/BBDO [9],[10] ainsi que BBH et Goodby, Silverstein & Partners[11]. En 2005 ils ouvrent Marcel sur la demande de Maurice Lévy[11]. Ils quittent l'agence fin 2006, et s'associent avec Christophe Lambert, ex-président de Publicis pour fonder FFL Paris (« FFL » pour « Fred Farid Lambert ») en janvier 2007[12],[13],[14],[15],[16]. Le capital de cette structure se répartit à parts égales entre les trois actionnaires à hauteur de 70 %, les 30 % restants étant financés par l'homme d’affaires Vincent Bolloré[17].
En septembre 2008, Christophe Lambert quitte la société pour un projet de publidivertissement[18].
En 2009, le groupe, qui porte désormais le nom de Fred & Farid[19], revendique plus de 80 collaborateurs[20].
En 2012, Fred & Farid lance cinq agences, dont deux généralistes (FF Paris et Hello Sunshine) et trois digitales (Kids Love Jetlag, Furious Monkeys et Eddi&Son), et le webzine BCKSTG[21] qui ne verra jamais le jour[22].
En , le groupe annonce l'ouverture d'une agence à Shanghai[23]. À cette occasion, l'agence FF Paris se renomme FF Paris-Shanghai, adopte un logo franco-chinois et lance le webzine Creative China sur la créativité chinoise[24]. En partenariat avec Havas Media, le groupe lance une agence média intégrée pilotée par Pascal Crifo : FF Media[25].
En 2013, Fred & Farid ouvre un fonds d'investissement (FF Digital Investment Fund) destiné à la prise de participation dans de jeunes entreprises numériques comme Melty[26]. La même année, Eddi&Son ferme[27].
En 2014, FF annonce l'ouverture d'une agence à New York, une autre à Pékin[5], ferme Furious Monkeys[28] et Kids Love Jetlag en mise en sommeil[29].
En janvier 2016 FF New York est lancé officiellement[30]. L'agence travaille déjà pour le cognac Louis XIII, HP et le groupe de musique américain Major Lazer.
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Clients
L’agence travaille pour des marques telles que Euronews en 2008[31], Schweppes[32], 1664 en 2009[33], Orangina[34], Diesel en 2007[35], Wrangler en 2009[36], ainsi que Lagardère Active Media[37], Société générale[38]. en 2011, mais aussi Kronenbourg[39], Bongrain[38], Quechua[24], Montblanc, Giorgio Armani[40], Van Cleef & Arpels[41], Morgan[42], Basic-Fit[43],[44].
Controverses
L'agence Fred & Farid a été citée plusieurs fois au cours d'évènements qui ont enflammé la toile, et particulièrement les réseaux sociaux. Ainsi en 2011, l'agence est suspectée d'avoir acheté des followers [45] pour gonfler artificiellement son compte Twitter. La réponse en image [46] du groupe à cette accusation n'a fait que médiatiser encore plus cette affaire.
L'agence a également été accumulée de pratiques trompeuses sur Facebook pour le compte d'Orangina[47]. En février 2012, un employé du groupe reconnaît avoir créé et utilisé de faux comptes Facebook pour générer artificiellement des conversations[48] sur la page Facebook d'Orangina, alors client de l'agence. Face aux critiques, le groupe finit par condamner ces pratiques par un communiqué publié sur sa page Facebook le 22 février[49]. En avril 2012, le groupe menace d'attaquer en justice le blogueur ayant mis à jour leur achat de followers quelques mois auparavant. Faisant face à une vague de protestations sur les réseaux sociaux, ce projet est finalement abandonné[50]. Peu après, leur communication pour la même marque est remise en cause et qualifiée de vulgaire[51].
Notes et références
Liens externes
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