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Jean-François Micas
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Jean-François Micas, né le à Saint Girons (Ariège), mort le à Toulouse (Haute-Garonne), est un général français de la Révolution et de l’Empire et un ingénieur géographe. Il participe à l'élaboration de la carte de Cassini sur Pleine-Fougères et ses environs entre 1784 et 1785[1].
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États de service
Résumé
Contexte
Il entre en service le comme sous-ingénieur dans le corps des ingénieurs-géographes, et il devient ingénieur le .
Le il passe sous-lieutenant au 53e régiment d’infanterie, et le suivant il est nommé adjoint aux adjudants-généraux à l’armée du midi[2], où il est chargé des reconnaissances et de la castramétation sous les ordres directs des généraux de cette armée. Le , au combat de Sospello, il reçoit un coup de feu qui lui traverse le bras droit.
Rejoignant l’armée d’Italie, il est nommé adjudant-général chef de bataillon le , puis le suivant il devient adjudant-général chef de brigade à l’état-major du corps d’armée à l’Est de Toulon. Il sert sous les ordres du général Jean François Cornu de La Poype au siège de Toulon et se signale à l'attaque du Mont-Faron.
Il est promu général de brigade le . Il sert sous Dugommier à l'Armée des Pyrénées-Orientales dans les rangs de la division Pierre François Sauret de La Borie. Il participe au siège de Collioure du 6 au , et à la bataille de Rocaseins le . Il sert dans la division Augereau le suivant, et il commande à Perpignan les troupes entre l'Agly et le Tech.
Nommé général de division le . Désigné pour commander l’expédition qui devait avoir lieu dans les Indes orientales, il passe le de la même année à l’armée de Sambre-et-Meuse sous les ordres du général Jourdan. Il prend le commandement à Luxembourg, puis à Liège des quatre département belges affectés à cette armée en . Commandant la 25e division militaire à Liège en , il est réformé le suivant.
Il est réintégré dans son poste le , et le il reçoit l’ordre de se rendre dans la 25e division militaire, pour y prendre le commandement d’une subdivision. Il est de nouveau réformé le , et le il devient commandant d’armes à Toulon[3].
Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le , et commandeur dans l’ordre le [4]. Lors de la première restauration, il est fait chevalier de Saint-Louis, et il est mis à la retraite le .
Il meurt le à Toulouse.
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Notes et références
Voir aussi
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