En 1951, il fait partie, aux côtés de Félicien Challaye et d'Émile Bauchet[7] des fondateurs[8] de La Voie de la paix, organe du Comité national de résistance à la guerre et à l'oppression (CNRGO, devenu Union pacifiste de France en 1961[9]).
À la même époque, il apporte aussi son soutien à Ethel et Julius Rosenberg, aux côtés de nombreux intellectuels du monde entier.
La Marchande d'allumettes, conte lyrique en 3 actes, selon le conte d'Andersen, avec Rosemonde Gérard, musique de Tiarko Richepin, Paris, Opéra-Comique,
La Déserteuse, pièce en 3 actes en vers, Bruxelles, Théâtre de Paris, ; Paris, Potinière,
Napoléon IV, pièce en 4 actes, en vers, Paris, Porte Saint-Martin,
Le Dernier Tzar, pièce en 4 actes et 5 tableaux, en vers, Paris, Porte Saint-Martin,
L'Homme que j'ai tué, pièce en 3 actes et 1 prologue, adaptée du roman, Paris, Mathurins, Cette pièce a connu deux adaptations cinématographiques, L'Homme que j'ai tué (Broken Lullaby) par Ernst Lubitsch en 1932 et Frantz par François Ozon en 2016.
Monsieur de Létorière, pièce en 4 actes et 5 tableaux, Paris, Porte Saint-Martin,
Le Général Boulanger, pièce en deux parties et dix tableaux, en vers et en prose, écrite avec Pierre Mortier, Paris, Porte Saint-Martin, La narratrice n'est autre que la légendaire Belle Meunière que fut dans sa jeunesse la Mère Quinton (Marie Quinton 1854-1933) pour le général Boulanger.
Une jeune fille espagnole, comédie romanesque en 3 actes et 4 tableaux, Paris, Sarah-Bernhardt,
Les Marchands de canons, pièce en 3 actes, en prose, Paris, Palace,
Thomas Sertillanges, Edmond Rostand, les couleurs du panache, Atlantica, 2020, 580p., 500 illustrations. — Première biographie illustrée du poète, dans lequel un chapitre est consacré à Maurice Rostand.