Aaron Swartz
informaticien et militant de l'Internet / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Aaron Swartz, né le à Highland Park, près de Chicago, et mort le à New York[2], est un informaticien, écrivain, militant politique et hacktiviste américain.
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Shalom Memorial Park (d) |
Nom de naissance | |
Nationalité | |
Formation |
Université Stanford North Shore Country Day School (en) |
Activités |
Programmeur, militant politique, homme d'affaires, wikimédien, écrivain, cyberactiviste, hacktiviste |
Père |
Robert Swartz (d) |
Mère |
Susan Swartz (d) |
Site web |
(en) www.aaronsw.com |
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Blog officiel | |
Distinctions | |
Archives conservées par |
Fervent partisan de la liberté numérique, il consacra sa vie à la défense de la « culture libre », convaincu que l'accès à la connaissance est un moyen d'émancipation et de justice.
Aaron Swartz a eu une influence décisive dans l’essor d’Internet. Il participa au développement de plusieurs techniques, notamment le format flux RSS[3] ou encore celle des licences Creative Commons[4] (CC). Sa contribution ne s'arrête pas au plan technique, il fut aussi connu pour ses efforts de démocratisation de l’information sur le web en manifestant contre des projets de loi tels que la Stop Online Piracy Act (SOPA).
Écrivain prolifique sous différentes formes (blogs, pamphlets politiques, textes de conférences), l'ouvrage Celui qui pourrait changer le monde (paru en français en 2017) rassemble ses principaux textes qui reflètent son engagement intellectuel sur des enjeux sociétaux dont le droit d'auteur, la liberté d'accès des connaissances et des savoirs dont les publications scientifiques ou la transparence en politique.
Il a étendu ses réflexions dans le domaine de la sociologie, l'éducation civique et politique[5],[6].
Il se suicide le à l'âge de 26 ans[2] dans son appartement. Son procès fédéral en lien avec des accusations de fraude électronique devait débuter le mois suivant.