Les Indes galantes (Staël)
peinture de Nicolas de Staël / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Pour l’opéra-ballet de Rameau ayant inspiré ces toiles, voir Les Indes galantes.
Les Indes galantes (I et II) est un ensemble de deux huiles sur toile peintes par Nicolas de Staël en 1953 à Paris un an après avoir assisté à la première représentation à l'Opéra Garnier de l'Opéra-ballet Les Indes galantes de Jean-Philippe Rameau qui n'avait pas été donné à Paris depuis deux cents ans[2]. Les toiles de Staël sur ce sujet, amorcent un nouveau « renouvellement continu » dans la technique et le choix des motifs, tels que le souhaitait l'artiste. Techniquement, il ajoute selon les termes de Daniel Doebbels « du fin sur l'épaisseur », jetant un voile « infiniment doux » en particulier dans la toile de II, sur une figure nue qui confirme les recherches de l'artiste sur le nu auquel il déclarait vouloir « s'attaquer » seulement en 1954 dans une lettre à Jacques Dubourg.
Artiste | |
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Date | |
Type |
Huile sur toile |
Dimensions (H × L) |
114 × 100 cm |
Localisation |
Artiste | |
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Date | |
Type |
Huile sur toile |
Dimensions (H × L) |
113 × 100 cm |
Localisation |
Collection privée, NC (NC[1].) |
Cette douceur masque un tourment que Staël explicite en 1952 dans une lettre à René Char du « Rien n'est plus violent que la douceur[3]. »
Pour un article plus général, voir Œuvres de Nicolas de Staël.