Liste des sous-espèces de la Sittelle torchepot
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La liste des sous-espèces de la Sittelle torchepot compte un nombre variable de taxons selon les auteurs, mais au moins quinze et jusqu'à plus de vingt sont reconnues. Ces sous-espèces sont généralement réparties en trois groupes, S. e. caesia, d'Europe, d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, S. e. europaea, de Scandinavie, de Russie, du Japon et du Nord de la Chine et S. e. sinensis, du Sud et de l'Est de la Chine et de Taïwan. Ces groupes auraient pu être isolés les uns des autres jusqu'à récemment, mais des oiseaux d'apparences intermédiaires se rencontrent aux zones de chevauchement. Les descriptions du plumage données dans les tableaux ci-après concernent le mâle ; la femelle est généralement légèrement plus terne, avec le trait oculaire teinté de brun et des parties inférieures plus pâles[1].
Le découpage donné ci-après suit la classification du Congrès ornithologique international dans sa version 6.4 (2016)[2], identique à la version en ligne de Handbook of the Birds of the World (HBW, 2017), comptant 21 sous-espèces[3]. L'opinion de Simon Harrap dans sa monographie Tits, Nuthatches and Treecreepers de 1996[1] est également précisée, à l'exception de la Sittelle de Sibérie qui n'est pas mentionnée, HBW traitant ce taxon comme une espèce à part entière : S. arctica Buturlin, 1907. Cette sittelle du Nord-Est de la Sibérie a un trait oculaire plus fin et plus court qu'aucune autre sous-espèce de la Sittelle torchepot, a un bec long au culmen droit, et les parties inférieures très blanches[3]. Le brun du croupion s'étend plus loin sur les flancs ; la griffe arrière est aussi longue que le doigt la portant[4].