Point G
zone hypothétique du vagin, réputée extrêmement érogène et dont la stimulation amènerait presque systématiquement un orgasme / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Le point G ou point de Gräfenberg (noms donnés en hommage à Ernst Gräfenberg, gynécologue allemand) est une zone érogène de la paroi antérieure du vagin, de forme bulbeuse, mesurant moins d'un centimètre de diamètre, et qui, par la stimulation, accroît sa taille[1].
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L'existence du point G ne fait pas l'objet d'un consensus dans la communauté scientifique. Les observations médicales à son sujet restent anecdotiques et les études de cas, effectuées sur la base d'un petit nombre de sujets, sont rarement soutenues par des études anatomiques et biochimiques[2].
Comme il n'existe pas actuellement d'étude ayant comparé et évalué l'importance relative des différentes possibilités de sensibilité érogène du vagin et du point G, il est difficile de conclure. La seule certitude est que le vagin possède des zones, le plus souvent sur sa paroi antérieure, dont la stimulation tactile est intensément érogène et peut conduire à l'orgasme[3]. L'hypothèse actuellement la plus crédible est que sa surface la plus sensible corresponde à la zone de contact avec la partie interne du clitoris[4].