Le président de l'Islande est élu pour quatre ans au suffrage universel direct à la majorité relative avec un seul tour. Dans le cas où un unique candidat potentiel se présente, il est automatiquement déclaré élu ou réélu[2].
Bureaux de vote
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Chaque candidat devait formellement déclarer son intention de participer au plus tard le samedi , soit cinq semaines avant l'élection, et être soutenu par au moins 1 500 électeurs. Lors des précédentes élections, le nombre maximal de candidats a été de six, mais il atteint le record de neuf pour ce scrutin.
Elísabet Jökulsdóttir, auteure de poésie et de théâtre, fait une annonce officielle annonçant sa candidature[6].
Sturla Jónsson[7], conducteur de camion, fondateur du parti Sturla Jónsson
Ástþór Magnússon, homme d'affaires et activiste pacifiste, qui a déjà participé à trois élections présidentielles (en 1996, en 2004 et en 2012), annonce qu'il participe de nouveau à la course présidentielle[8],[9].
Guðrún Margrét Pálsdóttir, infirmière et fondatrice de ABC Barnahjálp, une association humanitaire centrée sur les enfants en Asie et en Afrique[10].
Benedikt Kristján Mewes, ingénieur, qui veut être le premier président gay[18].
Magnus Ingi Magnússon, restaurateur et traiteur[19].
Guðmundur Franklín Jónsson, homme d'affaires et ancien chef du parti des Verts de droite[20], annonce sa candidature en mars avant de la retirer le mois suivant pour soutenir Ólafur Ragnar Grímsson[21].
Vigfús Bjarni Albertsson, chapelain d'un hôpital[22], annonce sa candidature en mars mais se retire de la course le [23].
Þorgrímur Þráinsson, auteur et ancien joueur de football, retire sa candidature en avril[12],[24].
Heimir Örn Hólmarsson, ingénieur[25], se déclare candidat en mars mais se retire le suivant en faveur de l'actuel titulaire[26].
Ólafur Ragnar Grímsson, le président sortant, qui avait annoncé le précédent qu'il ne tenterait pas d'obtenir un sixième mandat[1],[27],[28],[29], décide le de se représenter après le scandale des Panama Papers, qui a fait chuter le gouvernement de Sigmundur Davíð Gunnlaugsson et provoqué une crise politique[30]. Le cependant, il annonce finalement renoncer à se représenter[31].
Jón Gnarr, comédien et ancien maire de Reykjavik, était un populaire possible candidat dans les mois précédant l'élection[27], mais il a confirmé le qu'il ne voulait pas participer à la course au poste de président[35].
Snorri Ásmundsson, artiste conceptuel, publie une déclaration dans laquelle il déclare avoir l'intention de briguer la présidence de l'Islande et du Mexique, dans l'objectif de rassembler les bureaux présidentiels des deux pays[38],[39].