Centrale nucléaire d'Onagawa
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La centrale nucléaire de Onagawa (女川原子力発電所, Onagawa genshiryoku hatsudensho?) est exploitée la Tohoku Electric Power Company[2] société qui exploite aussi la centrale d'Higashi-Dori. Cette société ne doit pas être confondue avec la Tokyo Electric Power Company souvent désignée par l'acronyme « TEPCO ».
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Localisation | |
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Coordonnées | |
Opérateur |
Tohoku Electric Power Company |
Construction |
1980 (8 juillet) |
Mise en service |
1984 (1er juin) |
Statut |
nº1 mis à l’arrêt définitif en décembre 2018 n°2 et 3 en arrêt à froid à la suite du tremblement de terre et du tsunami du 11 mars 2011[1] |
Type | |
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Réacteurs actifs |
2 x 825 MW |
Puissance nominale |
2 174 MW |
Production annuelle |
5,283 GWh |
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Source froide | |
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Site web |
Elle est installée à environ 70 km au nord de Sendaï, sur une superficie de 1 730 000 m2, sur le territoire de deux communes ; en partie sur la ville d'Ishinomaki et sur le bourg d'Onagawa, dans le district d'Oshika de la préfecture de Miyagi, sur la côte pacifique à l'Ouest de l'île de Honshu, l'île principale du Japon.
Plus précisément, la centrale est située sur la péninsule d'Oshika, près de Matsushima, zones considérée comme abritant parmi les plus beaux paysages du Japon.
La tranche No 3 de cette centrale a servi de modèle de base à la première tranche (avec quelques améliorations destinées à faciliter la maintenance du réacteur) de la plus récente des centrales japonaise, encore en construction pour les deux dernières tranches, la centrale nucléaire de Higashidori, également construite et gérée par la compagnie électrique Tōhoku[3].
La centrale nucléaire d'Onagawa était la centrale nucléaire la plus proche de l'épicentre du séisme de Mars 2011, deux fois plus proche que celle de Fukushima Daiichi. Selon l'agence Reuters, les trois réacteurs de la centrale ont résisté avec succès au tremblement de terre et au tsunami de Tōhoku en 2011, démontrant la capacité d'une installation nucléaire bien conçue pour résister, même à l'un des plus puissants séismes de compression majeure et les tsunamis jamais enregistrés, et pour s'arrêter en toute sécurité, sans incident[4]. Toujours selon Reuters, la centrale aurait même servi de refuge à la population locale contre le tsunami [4],[5].