Loading AI tools
journaliste, historien et theologian français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Christophe Levalois , né le à Bordeaux, est un journaliste et essayiste français.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Activités |
Essayiste, professeur d'histoire-géographie |
Site web | |
---|---|
Distinction |
Christophe Levalois est titulaire d'un DUT carrières de l'information (1982), d'une maîtrise en histoire (1992)[1] et d'une licence de théologie orthodoxe (2011)[2].
Cofondateur du premier Renouveau étudiant en 1981, il est dans sa jeunesse un des responsables du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne à Bordeaux[3].
Devenu enseignant d'histoire et de géographie[4], il collabore en parallèle à plusieurs revues, dont Antaïos[5], Horizons européens[6], Jeune nation solidariste[7], La Place Royale et Le Recours aux forêts[8]. Après avoir quitté les éditions Pardès, il fonde Sol invictus. Revue d'études traditionnelles[4] en 1987, ainsi qu'un cercle du même nom[9].
Durant quelques mois en 1988-89, il dirige Radio Renaissance, une station privée régionale, « ouvertement contre-révolutionnaire »[10].
En 1996, il témoigne dans Enquête sur la tradition (sous la direction d'Arnaud Guyot-Jeannin)[11].
En 1999, il signe pour s'opposer à la guerre en Serbie la pétition « Les Européens veulent la paix »[12], initiée par le collectif Non à la guerre[13].
Jusqu'au tout début du XXIe siècle, ses écrits portent principalement sur le symbolisme et les mythes, et s'inscrivent dans la lignée du pérennialisme. En 2001, il signe encore une contribution dans Aux sources de l’éternel féminin, dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin[14].
À partir de 1999, il s'oriente vers le christianisme orthodoxe, ce qui constitue pour lui un « tournant »[15].
Il anime en 2004-2005 des tables rondes lors des Rencontres orthodoxes organisées à l'église Saint-Séraphin-de-Sarov[16]. En , il fonde avec Jivko Panev le site Orthodoxie.com[17],[18].
En 2008, à l'occasion de la venue de Benoît XVI en France, il participe au site Un pape, un blog[19], qu'il définit comme un « espace de dialogue et d'ouverture »[20].
Le 27 octobre 2007, il est ordonné diacre[21], puis prêtre le 24 mai 2010 dans l'archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale pour Saint-Séraphin-de-Sarov, auprès du recteur Nicolas Cernokrak.
En 2012, il participe sous l'égide de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France à l'organisation des premières Journées du livre orthodoxe[22].
En 2013-2014, il tient une chronique dans l'émission hebdomadaire Lumière de l'orthodoxie sur Radio Notre-Dame[23]
Il fait partie en 2016 des signataires d'une tribune demandant la reconnaissance de l'incorporation forcée en 1946 de l'Église grecque-catholique ukrainienne à l'Église orthodoxe, et la nullité de cette décision[24],[25].
Il est réduit à sa demande à l'état laïc par décision du tribunal ecclésiastique de l'Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale en date du 12 novembre 2020[26].
En 2021, il donne des cours à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge dans le cadre d’une nouvelle formation nommée « Orthodoxie et médias »[27].
À propos de son ouvrage, Prendre soin de l’autre, le métropolite Emmanuel Adamakis, lors de l'inauguration des locaux d'Orthodoxie.com, le 27 mai 2013, déclare : « Je tiens d’ailleurs à saluer l'importance de cet ouvrage. L'auteur souligne en particulier la dimension kénotique et eucharistique de la communication[28]. » Philippe Vaillancourt écrit quant à lui: « Cet essai est véritablement l’une des réflexions chrétiennes les plus fraîches des dernières années », ou encore que cet essai « se démarque nettement du lot, tant par l’originalité de son apport à la réflexion que par son style simple qui offre une synthèse de qualité de la question. »[29]. Enfin pour Carol Saba : « Indiscutablement, il s’agit là d’un très beau travail, concentré, documenté et utile »[30].
Prix Jean Dorst 2020, décerné par l'Académie vétérinaire de France et le Groupement des écrivains médecins, reçu pour l'ouvrage Le loup et son mystère. Histoire d'une fascination[31].
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.