Colette Mayer-Grunbaum, née le à Paris, pendra pour nom de plume celui de Constance Coline. Elle naît dans une famille aisée qui fréquente les milieux artistiques. Elle est proche de Jacques Rigaut, René Clair, Aragon, Drieu la Rochelle. Après avoir perdu à la guerre Maxime François-Poncet, son amour de jeunesse, elle épouse Philippe Clément (son témoin est Léon Blum)[1].
Après avoir fait des études de médecine, elle publie, sous pseudonyme, un roman de mœurs, Chacun pour soi, en 1932[1].
Romans
Chacun pour soi, Plon, 1932
La main passe, Flammarion, 1934 — critique de André Billy dans La Femme de France, 5 aout 1934, p. 18 lire en ligne sur Gallica
Nathalie ou le clair-obscur, La Jeune Parque, 1945
Le Jardin des fées, La Jeune Parque, 1946
Et même un peu farouche, Denoël, 1962
Théâtre
Septembre, Théâtre du Vieux Colombier, 1938
Éblouissement, d'après The Shining Hour de Keith Winter, adaptation de Constance Coline, Théâtre des Arts (Hébertot), 1936
Edgar Reichmann, «La 'Belle Époque' de Constance Coline», Le Monde, 19 décembre 1980
Liens externes
«Arrêté du 10 août 2001 fixant la liste des auteurs et compositeurs considérés comme classiques en application de l'article 89 ter de l'annexe III au code général des impôts», Légifrance, 2001 [lire en ligne]