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Les seuls biotopespseudo naturels subsistants sont sur les pentes et les sommets des mornes alentour. Pseudo naturels car ces surfaces ont été déboisées à partir du XVIIesiècle pour laisser place à la culture de la canne à sucre, puis utilisés en pâturages pour l'élevage au XIXesiècle à nos jours. Ainsi ce sont plutôt des savanes à herbe de guinée régulièrement incendiées par écobuage ou des halliers abandonnés. Toutefois, il subsiste encore des coiffes de forêt aux sommets des mornes.
Les maisons construites au bord de la ravine canalisée de Concordia sont susceptibles de subir des inondations[2]
De nombreux déchets issus de la consommation urbaine parsèment l'espace public.
Le Hameau-du-Pont est issu de l'habitation-sucrière "Franciero"[3] active de 1782 à 1805, puis les terres furent regroupée à l'habitation "Hope" à Agrément.
Les plus anciennes maisons sont sur la rue transversale au bout de la "rue du Hameau-du-Pont".
Ces trente dernières années, l'accroissement étalé de l'urbanisation a mis en continuité ce quartier avec celui voisin "d'Agrément".
Ce quartier borde la zone commerciale et artisanale de Howell-center construit dans les années 1990.
Bermond G. & Chaperon P., «La crue du 15 septembre 1975 (Cyclone Eloïse) à Saint-Martin». ORSTOM (Office de la recherche scientifique et technique outre-mer) organisme aujourd'hui remplacé par l'IRD (Institut de recherche pour le développement), Fort-de-France, Martinique, octobre 1975.
Denise et Henri Parisis, «Le siècle du sucre à Saint-Martin français», Bulletin de la société d'histoire de la Guadeloupe, Aubenas, Imp. Lienhart, nos99 à 102, (ISSN0583-8266)