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sexologue français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jacques Waynberg, né en 1941, est docteur en médecine, sexologue, psychothérapeute et criminologue. Il est cofondateur de la Société française de sexologie clinique en 1974, fondateur et président de l'Institut de sexologie en 1976[1] et il crée et dirige le diplôme universitaire « sexologie et santé publique » à la faculté de médecine de l'université Paris-7.
Praticien et écrivain, auteur d’articles et ouvrages sur la sexologie[2], il est l’instigateur des premières consultations publiques de sexologie médicale en 1974 et un précurseur de son enseignement en France et en Europe[3]. L’ensemble de ses travaux de recherches cliniques et anthropologiques, historiques et ethnopharmacologiques, édifie une approche humaniste de la fonction érotique[4].
Consultant auprès de l’Organisation mondiale de la santé, il participé aux programmes de lutte contre le sida et d’éducation à la santé sexuelle en Europe de l’Est et en Afrique francophone[5].
Jacques Waynberg nait en [6].
Avant d'obtenir son doctorat de la faculté de médecine de Nancy en 1968, Jacques Waynberg obtient en 1967 son diplôme de criminologie à la faculté de droit de Nancy. Il est également licencié ès lettres à la faculté des lettres de Nancy la même année.
En 1968, l'année de son doctorat en médecine générale, il obtient également sa licence de droit à l'Institut des sciences politiques. Un an après, il obtient un certificat d'étude spéciale (CES) de médecine du travail.
En 1971, il est licencié ès sciences à la faculté des sciences de Nancy.
L'année suivante, il est admissible à la faculté de Nancy pour le certificat d'étude spéciale (CES) de psychiatrie et l'année suivante au certificat d'études spéciales (CES) de gynécologie médicale.
En 1973, il obtient un diplôme d'enseignement appliqué de biologie générale à la faculté des sciences de Nancy. Il commence alors en parallèle une formation diplômante post-universitaire à l'Institut Kinsey établi dans les murs de l'université de Bloomington aux États-Unis qui durera deux ans. Il travaille également avec le National Sex Forum Institute à l'université de Chicago, aux États-Unis. Il enchaînera les allers-retours entre les États-Unis et la France pendant plus de trois ans. C'est cette année-là qu'il fait la connaissance du docteur Georges Valensin, un autre pionnier de la sexologie moderne, dont le jeune docteur Waynberg sera le légataire.
En 1974, il obtient son certificat d'étude spéciale de médecine légale à la faculté de médecine de Nancy et son diplôme de psychopathologie à la faculté des lettres de Nancy. C'est cette année-là qu'il fait la connaissance de William Masters et Virginia Johnson, au sein de leur fondation Masters et Johnson Foundation, à l'université de Saint-Louis, aux États-Unis. Il effectuera également ses premières missions de coopération scientifique, sous l'égide du ministère des Affaires étrangères à Montréal, Moscou, Kiev.
En 1975, le docteur Jacques Waynberg obtient son diplôme des mains de Masters et Johnson, avec lesquels il collaborera pendant de longues années.
En 1976, après avoir reçu son diplôme spécialisé du National Sex Forum Institute, le ministère de la Justice français le charge de recherches au centre de Vaucresson. Il sera également consultant de psychiatrie pénitentiaire à Toul et à Écrouves. Cette année, il crée Sexofarm, un laboratoire de développement de produits parapharmaceutiques issus de la recherche ethnopharmaceutique dans le domaine de l'andrologie et de la gynécologie. Il crée la même année l'association Handicom, destinée à la formation continue de toutes les catégories professionnelles prenant en charge le handicap, à la création d’un centre de documentation, et à l’organisation de congrès internationaux portant sur le thème de la réadaptation sociale et familiale des personnes définitivement invalides.
En 1977, il fonde l’Institut de sexologie[7].
En 1978, et pendant deux ans, il effectuera d'autres missions de coopération internationales à Kiev et Leningrad.
En 1982, il sera chargé de cours par le ministère de l'Éducation nationale à l'université de Paris VI et ce pendant trois années sous la direction du professeur C. Thibault. L'Alliance française le charge d'aller en mission de coopération scientifique à Rome, Milan et Naples.
En 1983, il devient expert clinicien en médecine interne auprès du ministère de la Santé pendant cinq ans et sera attaché aux hôpitaux de Paris Beaujon, Saint-Antoine, Rothschild et Saint-Louis[8].
L'année d'après, en 1989, il est lauréat de la Fondation de France pour des recherches menées outre-mer en ethnopharmacologie.
Il collabore aussi avec l’Organisation mondiale de la santé comme expert consultant[9].
Il crée en 1999 le diplôme universitaire de sexologie et de santé publique au sein de l’université Paris-VII[10] et en prend la direction[11].
En 2011, il est le directeur de la formation diplômante d'études appliquées de sexologie et de santé publique qu'il effectue au campus de l'Institut de sexologie, au château de Moncé, près de Vendôme[12].
Opus 1, Le toucher, Cyril, Étude No 6, Massage relationnel, Sandra et As you like it.
Plaisir ensemble, Corps de femme, Caresses, OK, OK+, Corps à jouir et Érotica 1930.
Diathèque 144, ensemble original de 144 diapositives.
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