Ken'ya Akiba
personnalité politique japonaise / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Ken'ya Akiba (秋葉 賢也, Akiba Ken'ya?, né le 3 juillet 1962) est un homme politique japonais, membre du Parti libéral-démocrate, élu à la Chambre des représentants de la Diète. En août 2022, il devient ministre de la Reconstruction, ministre chargé de la Coordination générale des mesures de réhabilitation consécutives à l’accident nucléaire de Fukushima[1].
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Ken'ya Akiba 秋葉 賢也 | |
Fonctions | |
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Ministre japonais de la Reconstruction, chargé d'Okinawa et des Territoires du Nord et de la Coordination générale des mesures de réhabilitation consécutives à l’accident nucléaire de Fukushima | |
En fonction depuis le (1 an, 9 mois et 20 jours) |
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Premier ministre | Fumio Kishida |
Gouvernement | Kishida II |
Prédécesseur | Kosaburo Nishime |
Représentant du Japon | |
– (8 ans, 10 mois et 15 jours) |
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Élection | 16 décembre 2012 |
Réélection | 14 décembre 2014 22 octobre 2017 |
Circonscription | 2e district de Miyagi |
Législature | 46e, 47e et 48e |
Prédécesseur | Yasunori Saitō |
Successeur | Sayuri Kamata |
– (4 ans, 4 mois et 5 jours) |
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Élection | (partielle) |
Réélection | 11 septembre 2005 |
Circonscription | 2e district de Miyagi |
Législature | 43e et 44e |
Prédécesseur | Sayuri Kamata |
Successeur | Yasunori Saitō |
Biographie | |
Date de naissance | (61 ans) |
Lieu de naissance | Préfecture de Miyagi (Japon) |
Nationalité | Japonaise |
Parti politique | PLD |
Diplômé de | Université Chūō Université du Tōhoku |
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Originaire de la Préfecture de Miyagi, il est ancien étudiant de l'Université Chūō et a aussi un master de l'Université du Tōhoku. Il a servi trois termes à l’assemblée régionale de la Préfecture de Miyagi à partir de 1995 et est élu pour la première fois au parlement national en 2005.
Il est contraint de démissionner du gouvernement en décembre 2022 après avoir reconnu que son épouse et sa mère avaient perçu, durant des années, des fonds de groupes politiques sous la forme de paiements de loyer. Il lui est aussi reproché d'avoir rémunéré illégalement des assistants[2].