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capitaine de l'Armée française et résistant cannois De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Roger Meynadier est un capitaine de l'Armée française et résistant cannois né le à Giusvalla (Italie) et mort le à l'hôpital militaire du Val de Grâce à Paris.
Naissance |
Giusvalla (Italie) |
---|---|
Décès |
(à 29 ans) 5e arrondissement de Paris (hôpital militaire du Val de Grâce) |
Nationalité | France |
Profession | |
Autres activités | |
Formation | |
Distinctions | |
Ascendants |
Lieutenant Théodore Meynadier (père) |
Compléments
Son père est tombé au champ d'honneur le aux Éparges
Descendant d'une vieille famille cannoise, Roger Meynadier naît le à Giusvalla en Italie. Son père est le lieutenant Théodore Meynadier, mort au champ d'honneur le aux Éparges. Sa famille demeure au no 2 de la rue Grande, l'une des plus anciennes et des plus commerçantes rues de Cannes[1].
Le jeune Roger est élève de l'Institut Stanislas de Cannes, reçu en mathématiques élémentaires au Prytanée militaire en 1931[2] puis étudiant à Saint-Cyr[3].
Durant la Seconde Guerre mondiale, le capitaine Roger Meynadier participe activement à la résistance dans le centre de la France où il organise les premiers maquis. À l'été 1944, il est affecté à l'état-major des Forces françaises de l'intérieur du général Koenig. Il ne survit pas aux dures conditions de sa période de clandestinité qui ont altéré sa santé : il meurt, le , à l'hôpital militaire du Val de Grâce, avant d'atteindre l'âge de 30 ans[3].
Par arrêté du , la rue Grande de Cannes est renommée rue Meynadier en associant la mémoire du lieutenant Théodore Meynadier et du capitaine Roger Meynadier dans un même hommage[4].
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