Roger Vailland

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Roger Vailland, né à Acy-en-Multien (Oise) le et mort le à Meillonnas (Ain) (où il est enterré)[2], est un écrivain, essayiste, grand reporter et scénariste français. Son œuvre comprend neuf romans, des essais, des pièces de théâtre, des scénarios pour le cinéma, des journaux de voyages, des poèmes, un journal intime et de nombreux articles de journaux rédigés tout au long de sa vie.

Roger Vailland
Roger_Vailland_femmes_francaises_1952.jpg
Roger Vailland dans le magazine Femmes françaises dans les suite de son arrestation en Égypte.
Biographie
Naissance
Décès
(à 57 ans)
Meillonnas, Ain (France)
Sépulture
Cimetière de Meillonnas (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
Georges Omer, Robert François, Etienne Merpin, Frédéric Roche
Pseudonyme
Jean ServièreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Mouvement
Genre artistique
Distinction
Œuvres principales

Embauché en 1928 comme journaliste à Paris-Midi, il est, cette même année, cofondateur éphémère de la revue expérimentale Le Grand Jeu. Dandy et libertin, il continue son métier de journaliste jusqu'à la guerre et fréquente les milieux littéraires. Replié à Lyon après la défaite de 1940, il s'engage en 1942, après une cure de désintoxication, dans la Résistance aux côtés des gaullistes puis des communistes, et écrit ses premiers romans, comme Drôle de jeu (Prix Interallié, 1945) où s'associent désinvolture et Résistance.

Après la guerre, il s'installe dans l'Ain à Meillonnas et s'inscrit quelques années au Parti communiste. Il écrit alors une série de romans engagés : Les Mauvais Coups en 1948 (l’histoire d’un couple qui se défait), Bon pied bon œil en 1950 (la découverte du militantisme), Beau Masque en 1954 (le thème de la fraternité syndicale et de la lutte contre l’aliénation), 325 000 francs en 1955 (l'impasse de l'ascension individuelle) ou encore La Loi (prix Goncourt 1957), sur les jeux de pouvoir et de vérité dans la région des Pouilles, en Italie. Il travaille également comme scénariste auprès de Roger Vadim ou de René Clément.

Roger Vailland meurt à cinquante-sept ans, le , d’un cancer du poumon.

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