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Élections cantonales françaises de 1976
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Des élections cantonales sont organisées en France les et .
Elles concernent la moitié des cantons de France, excluant la région parisienne.
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Résultats
Résumé
Contexte
Les élections se soldent par une « très nette victoire de la gauche »[1] (pour la première fois de l'histoire de la Ve république, elle obtient plus de la moitié des suffrages exprimés[2]) et de la gauche non communiste en particulier (pour la première fois depuis la libération, le PCF est devancé par un autre parti de gauche[3]). On assiste à une forte poussée socialiste, qui agit comme un coup de semonce pour le gouvernement de droite de Jacques Chirac. Le PS gagne 194 sièges de conseils généraux et le PCF, 75, tandis que, à droite, l'UDR en perd 48 et les RI, 36.
Au total, les partis du Programme commun (PS, PCF et MRG) obtiennent 51,83 % des voix (réparties en 26,59 % pour le PS, 22,80 % pour le PCF et 2,44 % pour le MRG). Les partis de la majorité (UDR, RI, etc.) représentent 42,86 % des exprimés.
À l'issue de ces élections, quinze[réf. nécessaire] conseils généraux passent à gauche : Allier, Côtes-d'Armor, Gers, Gironde, Isère, Puy-de-Dôme, Savoie, Territoire de Belfort, Essonne, Val-de-Marne.
Le rapport de force est cependant toujours favorable à la majorité de droite qui conserve la présidence de 54 conseils contre 41 à la gauche. L'échec de la majorité provoque l'accroissement des divergences entre le président Valéry Giscard d'Estaing et son Premier ministre, qui démissionnera quelques mois plus tard.
Résultats nationaux
Par département
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Notes et références
Voir aussi
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