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Étienne Guillaume Picot de Bazus
aristocrate français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Étienne Guillaume Picot de Bazus, né le à Toulouse et mort le à Paris, est un général français de la Révolution et de l’Empire.
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Sa famille
Son père, Jacques Picot de Buissaison de Lapeyrouse (1709-1781) est noble[1], mais d'une famille de négociants, seigneur de Buissaison, de Lapeyrouse, et de Belloc. Il est capitoul de Toulouse et avocat aux requêtes près le Parlement de Toulouse de 1769 à 1777[2].
Étienne Guillaume Picot de Bazus est le frère du naturaliste Philippe-Isidore Picot de Lapeyrouse et du baron Jean Baptiste Picot de Buissaison, chef de bataillon des Gardes suisses (France) au château de Versailles.
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Biographie
Résumé
Contexte
Étienne Guillaume Picot de Bazus entre dans le corps des gendarmes de la garde en 1756. Il passe dans les Garde du corps du roi en 1778, où il est capitaine. Il obtient par la suite différents grades, capitaine de 1re classe au régiment d'Austrasie, lieutenant-colonel au régiment de Navarre, commandant du bataillon de garnison du régiment d'Artois. Il est fait chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1788[3].
Étienne Guillaume se marie avec Rosalie Susanne Joseph de Sars (1757-1839) le à Valenciennes. Elle est la fille d’Alexandre-Raymond de Sars (1729-1802) et de Marie Marguerite Rosalie Mathieu (1733-1797).
Picot de Bazus a un avancement rapide après 1789 : colonel du 90e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Chartres le , général de brigade le , il est finalement élevé au grade de général de division le [4]. Il commande à la fin de sa carrière une division à Valenciennes et obtient la Légion d'honneur le . Il fait partie du Conseil municipal de Lille en 1810 et 1817[5].
Il obtient un décret impérial portant création d'un majorat, avec le titre de baron de Bazus, daté du [6].
Sous la Restauration, il fait confirmer la transmission de son titre de baron de Bazus par le roi Louis XVIII de France, le , avec le même règlement d’armoiries. N’ayant pas d’enfants, il obtient la transmission de ses titres et majorat à son frère Jean Baptiste Picot de Buissaison. Celui-ci reçoit de Louis XVIII des lettres patentes le [7]. Sa sépulture se trouve au Père-Lachaise, 43e division.
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Dotation
- Majorat de 20 pièces de terre à labour dans le canton de Marchiennes (Nord), produisant 5 475 francs.
Armoiries
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Notes et références
Sources
Article connexe
Liens externes
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