Pendant cette session, 31 nouveaux biens sont inscrits au patrimoine mondial, dont vingt-cinq de type culturel et six de type naturel[1],[2]. Plusieurs pays concentrent plusieurs inscriptions: quatre au Royaume-Uni, trois au Brésil, deux en Autriche, Israël et Portugal. Il s'agit de la dernière année où une telle situation se produit: à partir de 2002, les pays membres ne peuvent plus proposer l'examen que d'un unique bien et le nombre total de sites à examiner est limité à 30 par session (45 après 2004).
Le Botswana et Israël connaissent leurs premières inscriptions.
Dans le tableau ci-dessous, les graphies des biens sont celles données par l'UNESCO.
Culturel, (iv) Inscrit en 1986 sous le nom «Architecture mudejar de Teruel», le bien est étendu à la collégiale Santa María la Mayor de Calatayud(es), l'église Santa Tecla de Cervera de la Cañada(es), l'église Santa María de Tobed(es), les restes mudéjares du palais de l'Aljaferia, la tour de l'église San Pablo de Saragosse(es), l'abside, l'église et le dôme de la cathédrale Saint-Sauveur de Saragosse[3],[7].
Naturel, (viii), (x) Inscrit en 1997 sous le nom «Parc national de Sibiloi/Île Centrale(en)», le bien est étendu à l'île Sud(en) et renommé en conséquence[8].
Inscrit en 1979, en péril à cause de l'élévation du niveau de la nappe phréatique et de l'effondrement de plusieurs structures[10],[11]. Il en est retiré en 2025, grâce à la mise en place d'un système de pompage et de drainage[11].
Sept propositions sont rejetées par le comité et ne conduisent pas à une inscription au patrimoine mondial. Cinq propositions de l'Ukraine sont ainsi rejetées, incitant le Comité à recommander au pays une aide technique pour mieux cadrer ses propositions[14].
Davantage d’informations Bien, Pays ...
Bien
Pays
Notes
Coordonnées
Illus.
Les constructions en bois de Jurmala (maisons d'été du district de Dzintari(en))