Abdellah Azmani

Abdellah Azmani, né en 1947 à Agadir et mort le 16 juillet 2025 à Casablanca^[1], est un homme politique marocain. Il a été secrétaire général de l'Union marocaine pour la démocratie (UMD) de juillet 2006 à mai 2012^[2].

Abdellah Azmani
Fonctions
Secrétaire général de l'Union marocaine pour la démocratie
2006 – 2012 (6 ans)
Prédécesseur	Poste créé
Successeur	Jamal Mandri
Ministre des Affaires culturelles
31 janvier 1995 – 13 août 1997 (2 ans, 6 mois et 13 jours)
Monarque	Hassan II
Premier ministre	Abdellatif Filali
Gouvernement	Filali II
Prédécesseur	Mohammed Allal Sinaceur
Successeur	Aziza Bennani
Député à la Chambre Basse Marocaine
25 juin 1993 – 10 janvier 1995 (1 an, 6 mois et 16 jours)
Ministre de l’Industrie et du Commerce
22 avril 1987 – 22 avril 1992 (5 ans)
Premier ministre	Azzeddine Laraki
Gouvernement	Gouvernement Lamrani IV/Laraki
Prédécesseur	Tahar Masmoudi
Ambassadeur du Maroc aux Émirats Arabes Unis
8 février 2000 – 15 décembre 2002 (2 ans, 10 mois et 7 jours)
Biographie
Date de naissance	1947
Lieu de naissance	Agadir (Maroc)
Date de décès	16 juillet 2025
Lieu de décès	Casablanca (Maroc)
Nationalité	Marocaine
Parti politique	UC (1983-2006) UMD (depuis 2006)
Profession	Chef d'entreprise
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Biographie

Abdellah Azmani est titulaire d'une licence en économie politique. Il commence sa carrière en 1964 au sein du ministère des Finances. En 1968, il entame une carrière professionnelle dans le secteur privé^[3].

Le 22 avril 1987, lors du remaniement ministériel du gouvernement Lamrani IV/Laraki, il est nommé ministre de l'Industrie et du Commerce en remplacement de Tahar Masmoudi^[4].

Lors des législatives de 1993, il est élu député à la chambre basse marocaine sous les couleurs de l'Union constitutionnelle^[3].

En janvier 1995, il est nommé ministre des Affaires culturelles dans le gouvernement Filali II, en août 1997, Aziza Bennani lui succède au poste dans le gouvernement Filali III^[5].

En 2000, il est nommé ambassadeur du Maroc aux Émirats arabes unis^[3].

En juillet 2006, après un différend avec les dirigeants de l'Union constitutionnelle, il annonce la création de son propre parti politique, baptisé l'Union marocaine pour la démocratie.