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All Visible Objects
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All Visible Objects est le 17e album de Moby sorti le . Un extrait, Power Is Taken, a été dévoilé le 14 janvier 2020[1],[2],[3],[4].
Réception
Résumé
Contexte
L'album « All Visible Objects » reçoit un accueil critique mitigé, avec un score de 62 sur 100 basé sur 8 critiques sur Metacritic.
Le titre Power Is Taken est comparé au son de la musique électronique de Moby des années 1990, s'éloignant du style downtempo d'« Everything Was Beautiful, and Nothing Hurt » (2018), mais étant « porteur d'un appel audacieux à l'action politique »[16]. Thomas H. Green, de The Arts Desk, a commenté : « Les trois derniers albums de Moby (These Systems Are Failing, More Fast Songs About Apocalypse et Everything Was Beautiful and Nothing Hurt) dont [les] deux [premiers] sous le nom de The Void Pacific Choir, étaient tous imprégnés de sa rage et de sa tristesse face à la situation que traversent son pays – et le monde. All Visible Objects semble être une tentative consciente de s'éloigner de cette approche et d'explorer de nouveaux horizons – en l'occurrence, une version sonore colossale, plus commerciale, de ce qu'il faisait à la fin des années 90 – mais le pari s'avère raté. Cependant, étant donné qu'il reverse l'intégralité des bénéfices de l'album à diverses œuvres caritatives, nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance. »
Rachel Aroesti, dans sa critique pour The Guardian, affirme : « Il est certain qu’All Visible Objects, le 17e album de Moby, ne donne pas l’impression d’être un pari risqué sur la pertinence musicale. La première partie oscille entre house fiévreuse, electronica planante, rave, techno et dub, tandis que la seconde se compose de morceaux ambient et légèrement solennels, construits à partir de motifs de piano et de nappes de synthétiseur. L’impression dominante des deux modes est la nostalgie, notamment pour les propriétés euphorisantes et utopiques de la musique dance. » Ryan Middleton, de Magnetic Magazine, ajoute : « Moby explore ses diverses influences sur cet album. Fortement lié à son amour pour la musique ambient et les arrangements orchestraux, il trouve également le temps de s’insurger contre le statu quo. On y trouve des moments de beauté et des moments pour danser. Ce n’est pas un album de dancefloor traditionnel, mais la musique de Moby n’a jamais rien eu de traditionnel. » [17] Jahan Embley, de l'Evening Standard, a écrit : « Globalement, on a le sentiment que Moby, avec 16 albums studio à son actif, pourrait et devrait faire mieux. »[10]
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Liste des titres
Références
Liens externes
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