Architecture en Guyane
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L’architecture de la Guyane, regroupe à l’origine, l’architecture amérindienne, l’architecture créole et l’architecture bushinenge. Ces architectures se mêlent aux styles architecturaux modernes.
Vue sur la Place Léopold-Héder, à Cayenne.
Cet article est une ébauche concernant l’architecture ou l’urbanisme et la Guyane.
Architecture pré-coloniale
L’habitat amérindien est traditionnellement centrée sur la construction de carbets. Ils changent de formes selon les régions et différentes ethnies présentes sur le territoire guyanais. Ils peuvent être construits sur le sol ou sur pilotis. Les carbets traditionnels des Wayanas sont très apprécié grâce au Maluana, qui est un ciel de case, utilisé pour décorer le dôme du Tukusipan (carbet communautaire)[1].
Architecture coloniale
Architecture créole
L’architecture créole, issue de la période coloniale est née dès le XVIIe siècle. Elle est constituée de maisons créoles, appelée localement case (kaz en créole guyanais), construite avec de l’argile fait sur place, du sable, des bois locaux, des métaux et du ciment[2].
Forts
Habitations
Architecture bushinenge
Entre le XVIIIe siècle et le XIXe siècle, les populations noires marrons vont développer une architecture notable. Initialement inspiré de l’architecture amérindienne, elle va de plus en plus s’en éloigner pour créer un style unique, marqué par l’origine africaine de ces peuples. L’habitat traditionnel des Bonis est reconnu pour l’utilisation de l’art Tembé, typique de ces peuples[3].
Architecture moderne
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Monument historique
Galerie
Hôtel de ville de Cayenne.
Musée du Camp de la Transportation.
Ancienne hôpital des Îles du Salut.
Panorama de la ville de Saint-Georges de l’Oyapock.
Vue aérienne du Fort Diamant.
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Notes et références
Voir aussi
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