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Archives départementales de la Seine-Maritime

archives du département de la Seine-Maritime, France De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Les archives départementales de la Seine-Maritime sont un service du conseil départemental de la Seine-Maritime. Elles se situent à Rouen[1] dans le quartier Grammont.

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Historique

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Les archives départementales de la Seine-Inférieure, boulevard des Belges.

Jusqu'en 1825, les archives étaient disséminées dans Rouen. L'acquisition d'un local situé près de la préfecture, boulevard des Belges, permet alors de les rassembler.

Après la Seconde Guerre mondiale, les archives sont stockées, dans Rouen, rue de Crosne, dans la chapelle du lycée Corneille et, à Mont-Saint-Aignan, dans la chapelle du Mont-aux-Malades[2].

Dès le début des années 1950, un projet de construction d'un centre administratif incluant les archives départementales sur la rive gauche de la Seine à Rouen est envisagé.

C’est ainsi qu'est inaugurée en 1965 la « Tour des Archives »[3], située dans l’enceinte de la cité administrative, dans le quartier Saint-Sever. Ce bâtiment, de conception moderne, peut désormais accueillir 37 kilomètres linéaires de documents, répartis sur 27 étages. Chaque étage comprend deux salles disposant chacune de 600 mètres de rayonnages.

Le pôle culturel Grammont conçu par l’architecte Rudy Ricciotti accueille depuis 2012 une partie des archives et des espaces d’accueil du public, d’animation et de médiation culturelles[4].

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Accès

L’accès aux salles de lecture se fait au pôle culturel Grammont, au 42 rue Henri-II-Plantagenêt, bus F7, arrêts Simone-de-Beauvoir ou Clinique Mathilde près de la future gare centrale de Rouen et à deux pas de la gare routière mais aussi bien desservi par le métro arrêt Honoré de Balzac à 900 mètres.

La tour des Archives

Œuvre de Bahrmann, Leroy et Dussaux, la tour, de 89 mètres de hauteur (104 mètres avec l’antenne), est construite entièrement en béton armé, avec revêtement en pierre dure de Bourgogne. Afin d’éviter un vieillissement prématuré des documents dû à l’ensoleillement, toutes les ouvertures sont protégées par des claustras. Cet édifice est le deuxième point le plus haut de Rouen après la cathédrale Notre-Dame (151 m) et avant les « papillons » du pont Gustave-Flaubert (85 m).

En , elle fut mise en lumière par la société Neo Light grâce à 7 800 leds réparties sur les lucarnes des étages des façades nord et sud, accompagnées de 12 lampes au sommet, et de projections sur la façade Ouest (côté ascenseur) à partir du mois suivant[5].

Directeurs

  • 1807-1822 : Guillaume Gosselin ;
  • 1822-1829 : Jean-Baptiste Hénault ;
  • 1829 -: Hamel
  • Pierre Legendre (ca 1839)
  • 1847-1851 : Barabé
Davantage d’informations Identité, Période ...
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Fonds numérisés

Pour approfondir

Bibliographie

  • François Burckard, Guide des Archives de la Seine-Maritime, Rouen, 1990, deux volumes.
  • Armelle Sentilhes et Marie Barthélémy (préf. Charles Revet), Passeport pour les archives : guide pratique, Rouen, Archives départementales de la Seine-Maritime, , 169 p. (ISBN 978-2-86076-022-5, BNF 37695716)
  • Vincent Maroteaux, « Les Archives de la Seine-Maritime : l'émergence d'un patrimoine (1790 -1851) », Études normandes, 57e année, no 1, , p. 31-40 (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

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