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Goodnight Mommy

drame psychologique d’horreur réalisé par Veronica Franz et Severin Fiala, sorti en 2014 De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Goodnight Mommy (Ich seh Ich seh, littéralement « Je vois, je vois » en allemand) est un drame d’horreur autrichien écrit et réalisé par Severin Fiala et Veronika Franz, sorti en 2014.

Faits en bref Titre original, Réalisation ...

Le film est sélectionné comme entrée autrichienne pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère lors de la 88e cérémonie des Oscars qui s'est déroulée en 2016.

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Synopsis

Durant les vacances d'été, dans une luxueuse maison isolée, les jumeaux Elias et Lukas, âgés de 11 ans, voient revenir leur mère, la tête entièrement bandée après une absence justifiée par une lourde intervention de chirurgie esthétique au visage. Elle apparaît vite étrange dans son comportement, distante et froide avec les garçons, semblant cacher quelque chose.

Les rapports de la mère avec les jumeaux leur semblent inhabituels, elle ignore systématiquement Lukas, ne parle qu'à Elias. Dans leurs conciliabules secrets, les jumeaux doutent rapidement de son identité et, sous l'impulsion de Lukas, la mettent en question, puis au défi de se justifier. Les choses vont évoluer vers une violence perverse, jusqu'au dénouement final inattendu.

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Fiche technique

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Distribution

  • Susanne Wuest : la mère
  • Elias Schwarz : Elias
  • Lukas Schwarz : Lukas
  • Hans Escher
  • Elfriede Schatz
  • Karl Purker
  • Georg Deliovsky
  • Christian Steindl
  • Christian Schatz
  • Erwin Schmalzbauer

Accueil

Sortie internationale

Goodnight Mommy est sélectionné en avant-première mondiale à la Mostra de Venise dans la catégorie « Orizzonti », le avant qu'il ne se projette dans tout le pays d'Autriche en .

La France le découvre, en , au festival Premiers Plans d'Angers et au festival international du film fantastique de Gérardmer.

Accueil critique

Du festival international du film fantastique de Gérardmer, Mehdi Omaïs écrit sur un article du Metronews : « Le résultat épate par sa perfection formelle (quasi maladive) et le crescendo méphistophélique qu’il déploie, distillant dans son dernier tiers des séquences de torture comme on en a rarement vu au cinéma. (…) La relève de Michael Haneke et Ulrich Seidl semble — toutes proportions gardées — éclore »[1].

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Distinctions

Récompenses

Sélections

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Notes et références

Annexes

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