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Grégory Besson-Moreau

homme politique français De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Grégory Besson-Moreau, né le à Brou-sur-Chantereine (Seine-et-Marne), est un homme politique français membre de La République en marche. Il est député de la première circonscription de l'Aube du 21 juin 2017 au ,

Faits en bref Fonctions, Député français ...
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Biographie

Résumé
Contexte

Jeunesse et vie privée

Grégory Besson-Moreau grandit près de Coulommiers, en Seine-et-Marne[1].

Il est père de deux enfants[2],[3] d'une précédente union et est en couple[4] avec Aurore Bergé[5]. Leur fille, Victoire, est née en 2022.

Carrière professionnelle

Grégory Besson-Moreau a d’abord travaillé dans plusieurs grandes entreprises d’installations électriques, avant de créer en 2005 son bureau d’études[6]. En 2015, il fonde la société Énergie IP, une start-up spécialisée dans le domaine du bâtiment et des objets connectés[7].

Élections législatives de 2017

Au lendemain de l’élection présidentielle de 2017, Grégory Besson-Moreau est investi par La République en marche ! pour être candidat issu de la société civile aux élections législatives dans la première circonscription de l'Aube.

Accusé de parachutage car il réside à Montreuil (Seine-Saint-Denis), Besson-Moreau se défend en mettant en avant sa maison à La Chaise, dans l’Aube[8].

Grégory Besson-Moreau arrive en tête du premier tour avec 29,86 % des voix, devant le sortant Nicolas Dhuicq (25,69 %) et le candidat du Front national Bruno Subtil (24,89 %)[9]. Pendant la campagne, il reçoit les visites de soutien des ministres Jacques Mézard (Agriculture et Alimentation)[10] et Gérald Darmanin (Action et Comptes publics)[11]. Le , il reçoit le soutien direct du nouveau Premier ministre Édouard Philippe[12].

Le , la première circonscription de l’Aube est le théâtre de l’unique triangulaire du second tour des législatives[13],[14]. Il est élu député de la première circonscription de l'Aube avec 36,46 % des suffrages (contre 35,30 % pour Nicolas Dhuicq et 28,24 % pour Bruno Subtil)[9],[15].

Député de l'Aube

Le , Grégory Besson-Moreau a été nommé rapporteur de la commission d’enquête parlementaire « Lactalis »[16], mise en place à la suite de la contamination par des salmonelles d’enfants âgés de moins de 6 mois par des lots de laits infantiles fabriqués dans l'usine Lactalis à Craon[17]. Il rend son rapport le préconisant certaines mesures comme le renforcement des sanctions pénales et financières des dirigeants de l'agroalimentaire[18].

Candidat aux élections régionales de 2021 dans le Grand Est sur la liste de la ministre déléguée à l'Insertion Brigitte Klinkert, il est tête de liste dans l'Aube[19].

Lors du premier tour des législatives de 2022, il arrive derrière Jordan Guitton, candidat de 27 ans du Rassemblement national. Le deuxième tour est gagné par ce dernier avec 53,89 % des suffrages exprimés, dans une élection marquée par un taux d'abstention de 50,77 %[20].

Travaux parlementaires

Il a été rapporteur de la commission d’enquête sur la situation et les pratiques de la grande distribution et de ses groupements dans leurs relations commerciales avec les fournisseurs[21],[22],[23],[24]

Il a aussi été auteur et rapporteur de la loi de protection de la rémunération des agriculteurs dite Egalim2[25],[26],[27],[28]

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Prises de position

Prison de Clairvaux

En 2018, Grégory Besson-Moreau demande au gouvernement de revenir sur la fermeture en 2022 de la maison centrale de Clairvaux, située dans sa circonscription[29][source insuffisante], décidée en par le ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas[30]. Reçu à l’Élysée le par le directeur de cabinet du président de la République, Grégory Besson-Moreau demande un arbitrage présidentiel[31] après que le Premier ministre, Édouard Philippe, a confirmé, le , que la maison centrale serait bien fermée[32]. Il déclare en que l'unité dans le département de l'Aube est une nécessité pour mener à bien un vrai plan de reconversion[33].

CETA

En 2017, l'accord de libre échange CETA est présenté au parlement. Selon ses défenseurs, il aidera à renforcer l'économie française.

Il est cependant critiqué par les agriculteurs français[34],[35] et par Nicolas Hulot[36]. Le texte fracture comme jamais auparavant l'Assemblée nationale[37]. Grégory Besson-Moreau se dit favorable au CETA[38] et vote en sa faveur[39].

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Références

Voir aussi

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