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Groupe Ensemble pour la République
groupe parlementaire français à l'Assemblée nationale De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Le groupe Ensemble pour la République (abrégé en EPR) — dénommé entre 2022 et 2024 groupe Renaissance et de 2017 à 2022 groupe La République en marche[N 1] — est le groupe parlementaire de l'Assemblée nationale constitué autour du parti Renaissance.
Il est constitué à la suite des élections législatives de 2017, qui lui donnent la majorité relative des sièges durant la XVe législature. Le groupe perd cette majorité le en raison de la constitution d'un nouveau groupe, Écologie démocratie solidarité et connaît la plus forte baisse d'effectif pour un groupe majoritaire sous la Ve République.
À la suite des élections législatives de 2022, il est le principal groupe sous la XVIe législature sans pour autant disposer de la majorité absolue, y compris avec ses alliés. Sous la XVIIe législature, le groupe devient l'une des trois composantes minoritaires de l'assemblée à la suite des élections législatives de 2024.
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Activité législative
Résumé
Contexte
Vote des loi

Les lois pour la confiance dans la vie politique sont les premiers textes adoptés, promulgués le . Celles-ci prévoient notamment la suppression de la réserve parlementaire, la prévention des conflits d’intérêt et un contrôle renforcé de l’indemnité représentative de frais de mandat.
Début 2018, à l’approche de la présentation du projet de loi asile-immigration par Gérard Collomb, une centaine de députés LREM s'oppose à une proposition de loi souhaitée par le gouvernement et portant sur les conditions du placement en centre de rétention des étrangers soumis au règlement européen sur l’asile[2]. Contexte relève que « c’est la première fois qu’un groupe de parlementaires LRM dépose des amendements contre l’avis du gouvernement et les défend en commission et dans l’hémicycle, exprimant ainsi publiquement un désaccord politique »[3]. Lors du vote final en première lecture du projet de loi asile et immigration, le député Jean-Michel Clément vote contre et quitte le groupe LREM[4]. Par ailleurs, 13 députés LREM s'abstiennent sur ce vote[5]. Mediapart ajoute que 99 députés LREM « n’ont pas participé au vote, dont une partie pour ne pas se prononcer sur un projet de loi qu’elles n’approuvaient pas »[5].
En , la députée Aina Kuric vote contre le projet de loi asile et immigration en deuxième lecture en raison de l'amendement ajouté qui modifie les conditions d'accès à la nationalité française à Mayotte[6],[7], ce qui lui vaut un avertissement[8].
En décembre 2018, en pleine crise des Gilets Jaune, le député Sébastien Nadot vote contre le budget qu'il juge muet sur les questions sociales et environnementales et est exclu du groupe LREM[9].
En , le groupe connaît un record d'abstention (50 députés de la majorité) lors du vote de la « loi anti-casseurs »[10]. Ce record est battu en avec le vote de ratification de l'Accord économique et commercial global, dit CETA : 52 députés LREM s'abstiennent, et neuf votent contre[11],[12]. Gilles Le Gendre assure cependant qu'il ne procédera pas à l'exclusion de ces neuf députés, indiquant : « L’exclusion est réservée à des cas précis prévus par [le] nouveau règlement intérieur. En l’occurrence, voter contre le budget, la confiance au gouvernement ou avoir une expression clairement identifiée comme contraire à la charte [du] groupe[13] ». En , le groupe connaît un nouveau record d'oppositions et d'abstentions à un texte : seulement 175 des 271 membres votent en faveur du texte prévoyant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour la filière betteraves ; 32 votent contre et 36 s'abstiennent[14].
Exceptionnellement, les députés LREM se voient accorder la liberté de vote sur le projet de loi bioéthique[15]. Lors du vote en deuxième lecture, où la plupart des groupes avait accordé la liberté de vote à ses députés[16], le groupe LREM avait selon le site Datan un taux de cohésion[17] de 0,73[18], un taux particulièrement faible (45 députés LREM ont voté pour, 7 contre et 3 se sont abstenus).
Volume d'activité
Après six mois de législature, un classement établi par Capital situe La République en marche ! comme le parti dont les députés sont les moins actifs en moyenne[19]. Les députés du groupe contestent la méthodologie de ce classement, qui serait structurellement plus favorable aux groupes d'opposition selon eux[20].
Après un an de législature, Contexte, s'appuyant sur sa comparaison « des données de l’Assemblée sur l’activité parlementaire entre la première année des députés marcheurs (juin 2017-juin 2018) et celle des élus socialistes de l’ère Hollande (juin 2012-juin 2013) », estime que « l’arrivée massive des nouveaux députés macroniens à l’Assemblée en juin 2017 a juste entraîné une accélération du rythme de travail, pas une révolution des pratiques »[21]. À la même période, Les Jours indique que la moyenne du taux de présence aux votes de l'Assemblée du groupe LREM est de 26 % ; il est le groupe le plus présent après celui de La France insoumise[22]. Les députés sortants sont, en moyenne, beaucoup plus absents que ceux élus pour la première fois en 2017[22].
Amendements
Au début de la législature, les membres du groupe REM ont interdiction, selon l'article 16 de leur règlement, de signer des amendements proposés par d'autres groupes, y compris alliés, sous peine de sanctions[23],[24]. Cette interdiction avait été mise en place par Bruno Le Roux au sein du groupe socialiste, en 2012[24]. Tous les amendements du groupe doivent être soumis à des « réunions de balayage » dirigées par le coordinateur du groupe sur le texte, les députés ne déposant leur amendement que s’il est validé[25] : ce dispositif a lui aussi été copié sur celui du groupe socialiste de la précédente législature[26]. Contexte indique en que « depuis le début de la législature, aucun responsable de texte n’a été mis sérieusement en difficulté par la pression des députés de base » lors de ces réunions de balayage[26].
Le groupe s'affranchit parfois de l'avis du gouvernement sur ses amendements : Mediapart relève ainsi que « dans un bras de fer au sujet du budget du Centre national pour le développement du sport (CNDS), les députés avaient réussi à faire plier l’exécutif » ; de même, ils parviennent, en , « contre l’avis du gouvernement, à faire interdire la rémunération des assistants parlementaires par les lobbies »[27]. En , en comparaison avec la première année du groupe PS en 2012-2013, Contexte observe que « le nombre d’amendements déposés et adoptés est aussi en hausse, notamment de la part de la majorité. Sur les 11 premiers mois d’activité, la majorité LRM-Modem a déposé 9 582 amendements, contre 4 403 pour la période 2012-2013, selon notre analyse »[21].
Selon Contexte qui cite « plusieurs observateurs », le classement de Capital de « a fait basculer les pratiques. Cet article répertoriait le nombre d’amendements déposés et de prises de parole en séance et en commission. Pour avoir respecté les règles de fonctionnement du groupe, de nombreux députés de la majorité se sont retrouvés mal évalués et critiqués sur le terrain par leurs électeurs. La réaction a été immédiate. Les élus LRM ont commencé à déposer des amendements de manière individuelle, au point d’amener le groupe à réfléchir, en juin, à revoir son dispositif, désormais dépassé »[21].
Le dépôt d'amendements individuels par des députés du groupe LREM augmente dans les semaines qui suivent l'adoption de la loi asile-immigration, au point que Richard Ferrand confie à deux de ses proches, les députés Gilles Le Gendre et Pacôme Rupin, la mission de réfléchir à la façon d’en réduire le nombre[28].
En , après que Marc Fesneau, candidat du groupe MoDem à la présidence de l'Assemblée, a recueilli les voix de certains députés du groupe LREM au détriment de Richard Ferrand, Christophe Castaner, délégué général du parti et ministre des Relations avec le Parlement, accepte que les députés MoDem puissent cosigner des amendements de députés LREM[29]. En , dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2019, l'Assemblée nationale adopte de justesse (par 22 voix contre 20) un amendement du groupe MoDem excluant l'huile de palme de la liste des biocarburants, contre l'avis du gouvernement et du rapporteur général : le groupe MoDem obtient en effet le soutien de tous les groupes d'opposition ainsi que 5 LREM, le groupe UDI, Agir et indépendants étant partagé[30].
En , dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), 34 députés LREM menés par Jean-François Cesarini défendent un amendement visant à rendre plus progressive la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) : celui-ci est adopté en commission des Affaires sociales grâce au renfort de députés de l’opposition et de certains MoDem, contre l’avis du groupe LREM et du rapporteur général du PLFSS, Olivier Véran, ce qui occasionne « un remontage des bretelles » de la part de Gilles Le Gendre, président du groupe LREM. Pour Libération, cet amendement vient « torpiller les efforts déployés par le gouvernement pour tenter de refermer une bonne fois pour toutes l’épineux dossier CSG » alors que « cette mesure, en vigueur depuis le 1er janvier 2018, est emblématique du début du quinquennat »[31].
Relations au sein du groupe
La presse fait état durant l'été 2017 d'une cohabitation difficile entre les 27 députés réélus et ceux élus pour la première fois, les premiers regrettant que les seconds ne cherchent pas à s'appuyer sur leur expérience[32]. Des députés d'autres formations jugent le groupe majoritaire « apathique » et peu enclin à débattre des amendements[33].
Dès , la gestion du président Richard Ferrand est contestée et ses inflexions pour préserver la réserve parlementaire ou remettre en cause le projet d'obliger les candidats à une élection à avoir un casier judiciaire vierge mal comprises[34].
À partir de l'été 2018, la presse observe une dégradation des relations au sein du groupe LREM, visible à travers des amendements votés contre l’avis du gouvernement, des tentatives d’infléchir la ligne à gauche ou vers plus d’écologie, des rivalités internes plus fortes pour les postes à responsabilités, ou encore une démobilisation croissante lors de la réunion hebdomadaire du groupe ou aux séances de questions d’actualité[35],[36]. Le Huffington Post indique que « s'ils ont pu remettre en cause la gestion de l'affaire Benalla par l'Élysée ou si certains ont émis des doutes sur la manière avec laquelle le dossier Aquarius a été géré, aucun parlementaire LREM ne critique frontalement Emmanuel Macron », contrairement aux députés frondeurs de la précédente législature qui étaient « très structurés avec des leaders et un courant qui pesait au sein du parti »[35]. Contexte indique que « contrairement au groupe PS entre 2012 et 2017, les marcheurs ne sont pas structurés en courants politiques. Les coalitions se montent de manière informelle, au gré des textes, mais également des rencontres dans les couloirs ou des affinités préexistantes »[26].
Collectifs
Fin 2017, un groupe d'une trentaine de députés se forme autour de Brigitte Bourguignon : celui-ci revendique une « fibre sociale » et apparaît comme l'aile gauche du groupe parlementaire[37]. Sonia Krimi prend la tête de ce groupe à l'automne 2018[38]. En , un « Collectif social-démocrate », composé d'une vingtaine de députés, se crée au sein du groupe avec pour objectif d'en réunir l'aile gauche[39],[40].
En , des députés du groupe LREM tentent de créer derrière François-Michel Lambert et Paul Molac un nouveau groupe parlementaire, plus impliqué sur les questions de changement climatique[41]. Cette démarche aboutit à la création du groupe Libertés et territoires à la rentrée.
En , une vingtaine de députés LREM élus en milieu rural créent, à l'initiative de Benoît Simian, le « Cercle girondin LREM » : celui-ci vise à répondre à la critique du « manque d’ancrage local de la majorité »[42].
En , un groupe de députés LREM fait part publiquement, sur Twitter, de son profond désaccord à l'égard de la proposition de Jean-Michel Blanquer d'instaurer des sanctions financières contre les familles d’adolescents à problèmes : selon Mediapart, « c’est la première fois que, dans le même temps, un tel collectif informel de parlementaires prend la parole de manière concomitante sur les réseaux sociaux »[43].
Plusieurs membres et anciens membres du groupe majoritaire fondent en un groupe parlementaire dissident, Écologie, démocratie et solidarité. Ils sont menés par Matthieu Orphelin et Paula Forteza[44].
Au sein du groupe se crée en 2020 le mouvement « En commun », d'abord constitué comme association puis comme parti politique, tout en restant membre de la majorité. Situé sur l'aile gauche de la majorité, à connotation écologique et sociale, il compte en environ 500 adhérents payants, dont une cinquantaine de parlementaires. Il est présidé par Philippe Hardouin, un dirigeant d'entreprise, et compte trois vice-présidents : Barbara Pompili, Hugues Renson et Jacques Maire[45].
Élections internes
En , à mi-mandat, quelque 90 députés de la majorité présidentielle sont candidats aux 22 postes remis en jeu au sein du groupe[46]. La plupart des sortants aux postes importants sont réélus, le renouvellement intervenant sur des fonctions de second rang : les sept postes de secrétaire siégeant au bureau de l'Assemblée changent de titulaire[47],[48].
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Composition
Résumé
Contexte
Après avoir compté 314 députés au début de la législature, le groupe LREM en compte 268 en , (266 membres et 2 apparentés)[49],[50],[51]. Il s'agit d'une baisse record pour un groupe majoritaire sous la Ve République[49]. Le groupe perd la majorité absolue en [49].
Parmi les candidats présentés aux élections législatives 2017, 52 % appartenaient à la société civile et n'avaient jamais exercé de mandat électif[52].
Ces élections législatives vont avoir pour principal écho : le renouvellement significatif de l'Assemblée et de ses 577 membres. Avec 308 élus, La République en marche revendique deux tiers des nouveaux députés, soit 281 sur 424 novices[53]. Selon Le Parisien, au début de la législature, 169 députés LREM n'ont jamais exercé le moindre mandat (et 98 d'entre eux n'ont aucune couleur politique connue) ; la gauche (PS, PRG, écologistes, DVG) est de loin la plus représentée des tendances avec 126 députés, dont 83 ont été élus ou ont eu une activité partisane sous la bannière socialiste ; enfin, 48 élus viennent de la droite (UDI, LR, DVD) et 17 des centristes[54]. 77 députés LREM sont des anciens élus et/ou militants socialistes[55]. Le groupe est composé à 10 % de chefs d’entreprise et à 21 % de cadres du privé[56].
Origines partisanes des députés LREM élus en 2017[57]
DÉPUTÉS ISSUS DE LA GAUCHE
- Parti socialiste et apparentés (87 députés)
- Anciens députés : Frédéric Barbier, Yves Blein, Éric Bothorel, Florent Boudié, Brigitte Bourguignon, Jean-Jacques Bridey, Christophe Castaner, Jean-Michel Clément, Yves Daniel, Françoise Dumas, Sophie Errante, Richard Ferrand, Monique Iborra, Jacqueline Maquet, Gwendal Rouillard, Jean-Louis Touraine, Stéphane Travert, Olivier Véran.
- Anciens élus ou adhérents: Saïd Ahamada, Gabriel Attal, Florian Bachelier, Delphine Bagarry, Didier Baichère, Belkhir Belhaddad, Pascale Boyer, Anne Brugnera, Danielle Brulebois, Carole Bureau-Bonnard, Céline Calvez, Lionel Causse, Jean-René Cazeneuve, Sébastien Cazenove, Anthony Cellier, Jean-François Cesarini, Philippe Chalumeau, Philippe Chassaing, Mireille Clapot, Jean-Charles Colas-Roy, Michel Delpon, Christophe Di Pompeo, Nicole Dubré-Chirat, Stella Dupont, Pascale Fontenel-Personne, Jean-Luc Fugit, Olivier Gaillard, Guillaume Gouffier-Cha, Benjamin Griveaux, Sacha Houlié, Hubert Julien-Laferrière, Fadila Khattabi, Rodrigue Kokouendo, Anne-Christine Lang, Didier Le Gac, Nicole Le Peih, Fabrice Le Vigoureux, Monique Limon, Mounir Mahjoubi, Jacques Maire, Jacques Marilossian, Sandra Marsaud, Marjolaine Meynier-Millefert, Richard Lioger, Patricia Mirallès, Jean-Michel Mis, Cécile Muschotti, Mickaël Nogal, Catherine Osson, Didier Paris, Alain Péréa, Pierre Person, Michèle Peyron, Jean-François Portarrieu, Éric Poulliat, Laurianne Rossi, Pacôme Rupin, Laurent Saint-Martin, Benoît Simian, Denis Sommer, Joachim Son-Forget, Aurélien Taché, Buon Tan, Adrien Taquet, Jean Terlier, Stéphane Testé, Valérie Thomas, Stéphane Trompille, Jean-Marc Zulesi.
- Divers gauche (17 députés)
- Ancien député : Paul Molac, Hervé Pellois (exclu du PS en 2012)
- Anciens élus ou candidats : Albane Gaillot, Bruno Fuchs, Olga Givernet, François Cormier-Bouligeon, Sereine Mauborgne, Fabienne Colboc, Anissa Kheder, Christelle Dubos, Christophe Lejeune, Daniel Labaronne, Didier Martin, Olivier Serva, Hélène Zannier, Liliane Tanguy, Christophe Arend.
- Parti radical de gauche (8 députés)
- Anciens députés : Joël Giraud, Alain Tourret, Jacques Krabal (également membre de Cap21)
- Ancien sénateur : Stéphane Mazars
- Anciens élus ou adhérents : Stéphanie Kerbarh, Anne Blanc, Bruno Questel, Marie-Ange Magne.
- Cap21 - Le Rassemblement citoyen (4 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Pierre Cabaré, Nicole Dubré-Chirat, Rémy Rebeyrotte, Mireille Robert
- Parti écologiste (3 députés)
- Anciens députés : François de Rugy, Barbara Pompili.
- Anciens élus ou adhérents : Guillaume Vuilletet.
- Europe Écologie Les Verts (3 députés)
- Ancien député : Éric Alauzet
- Anciens élus ou candidats : Matthieu Orphelin, Yannick Kerlogot.
- Mouvement des progressistes (2 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Cécile Rilhac, Sébastien Nadot.
- Union des démocrates et des écologistes - Front démocrate (1 député)
- Ancien député : François-Michel Lambert.
DÉPUTÉS ISSUS DU CENTRE
- Mouvement démocrate (10 députés)
- Ancien député : Jean-Pierre Pont (député UDF de 1993 à 1997)
- Anciens élus ou adhérents : Christine Hennion, Philippe Berta, Christophe Blanchet, Claire O'Petit, Erwan Balanant, Isabelle Florennes, Jean-Philippe Ardouin, Sandrine Josso, Sylvain Waserman.
DÉPUTÉS ISSUS DE LA DROITE
- Union des démocrates et indépendants (16 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Bertrand Bouyx, Bruno Studer, Martine Leguille-Balloy, Typhanie Degois, Aude Bono-Vandorme, Christine Cloarec, Frédérique Dumas, Isabelle Rauch, Jean-Bernard Sempastous, Laurence Gayte, Loïc Dombreval, Marion Lenne, Michèle Crouzet, Philippe Huppé (membre du Parti radical), Sylvain Maillard, Xavier Roseren.
- Divers droite (16 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Jean-François Eliaou, Marie Lebec, Natalia Pouzyreff, Olivia Grégoire, Xavier Batut, Annie Vidal, Bérangère Abba, Christophe Jerretie, Fabien Matras, Thomas Gassilloud, Jean-Claude Leclabart, Corinne Vignon, Stéphane Buchou, Danièle Cazarian, Isabelle Muller-Quoy, Élisabeth Toutut-Picard.
- Les Républicains (10 députés)
- Ancien député : Bruno Le Maire
- Anciens élus ou adhérents : Amélie de Montchalin, Dimitri Houbron, Damien Pichereau, Hugues Renson, Romain Grau, Marie Guévenoux, Aurore Bergé, François Jolivet, Alexandra Valetta-Ardisson.
Le premier secrétaire général du groupe LREM, Jérôme Taillé-Rousseau, était auparavant secrétaire général-adjoint du groupe socialiste à l'Assemblée[24]. Après l'élection de Gilles Le Gendre à la présidence en , il est remplacé par Pierre Herrero, ex-directeur de cabinet à l’École polytechnique[58].
Effectifs et dénomination
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Organisation
Présidents
Liste des présidents successifs
Élection du président du
Élection du président des 9 et
Élection du président du
Élection du président du
Présidentes déléguées
Vice-présidents
Secrétaires
Trésoriers
Secrétaires généraux
- 2017-2018 : Jérôme Taillé-Rousseau
- 2018-2020 : Pierre Herrero
- 2020-2022 : Fanny Le Luel
- Depuis 2022 : Deborah Abisror-de Lieme
Porte-paroles
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Membres
Résumé
Contexte
Membres
Sous la XVIIe législature
Liste des membres
Liste des membres
Liste des apparentés
Sous la XVIe législature
Liste des membres
Liste des membres
Liste des apparentés
Représentation partisane
Sous la XVe législature
Liste des membres
Liste des membres
Liste des apparentés
Notes
- Xavier Batut (1976), quitte le parti le [61].
- Frédérique Lardet (1966), quitte le parti le [62].
- Patricia Mirallès (1967), quitte le parti le [63].
Représentation partisane
Membres du gouvernement retournés à l'Assemblée nationale
Anciens membres
Membres du gouvernement
Autres
Membres du bureau de l’Assemblée nationale
Le président de l'Assemblée nationale a été élu le et il est issu du groupe :
- François de Rugy (1973), élu de la Loire-Atlantique (première circonscription) ;
- Richard Ferrand (1962), élu du Finistère (sixième circonscription), le remplace le après la nomination de de Rugy au ministère de la Transition écologique et solidaire.
Présidents de commission
Depuis le , au début de la XVe législature, six des huit commissions de l’Assemblée nationale sont présidées par un membre du groupe[86] :
- Bruno Studer (1978), élu du Bas-Rhin (troisième circonscription), président de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation ;
- Roland Lescure (1966), élu des Français établis hors de France (première circonscription), président de la commission des Affaires économiques ;
- Fadila Khattabi (1962), élue de Côte d'Or (troisième circonscription), présidente de la commission des Affaires sociales.
- Jean-Jacques Bridey (1953), élue du Val-de-Marne (septième circonscription), président de la commission de la Défense nationale et des Forces armées ;
- Véronique Riotton (1969), élue de la Haute-Savoie (première circonscription), présidente de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire ;
- Yaël Braun-Pivet (1970), élue des Yvelines (cinquième circonscription), présidente de la commission des Lois.
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Identité visuelle
- Première version du logotype (2017-2022).
- Seconde version du logotype (2022).
- Troisième version du logotype (2022-2024).
- Quatrième version du logotype (2024).
- Cinquième version du logotype (depuis 2024).
Notes et références
Lien externe
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