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Jules Covin
as de l'aviation française de la Première Guerre mondiale De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Jules Charles Covin, né le à Saint-Saulve et mort le est un as de l'aviation française de la Première Guerre mondiale crédité de six victoires aériennes[1].
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Biographie
Résumé
Contexte
Le père de Jules Covin est sergent au 125e régiment d'infanterie de ligne stationné à Valenciennes. Sa mère est ménagère. Il suit une formation d'apprenti-mécanicien[2].
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, n'ayant pas fait son service militaire, il n'est pas mobilisé.
Le , il obtient son brevet de pilote civil en volant avec un Caudron, formation qu'il a financée.
Le , il se déclare pilote d'avion professionnel et s'engage à Lyon au titre du 3e groupe d'aviation. Il est breveté pilote militaire le [2].
À sa sortie de l'école de formation au pilotage, il est affecté à l'escadrille C9 et effectue ses premières missions dans la région de Nancy. D' au , il vole pour le service de fabrication[2].

Le , il est affecté à l'escadrille 52, dans laquelle il remporte, avec son équipage, sa première victoire aérienne aux commandes d'un Caudron R.4, le . Il est légèrement blessé pendant ce combat[2],[3].
Le , il est muté à l’escadrille R 213. Le , au-dessus de la Somme, toujours à bord d'un Caudron R.4 ; avec ses mitrailleurs, il obtient une nouvelle victoire[2].

En , après une formation sur appareil monoplace, il est affecté à l’escadrille N 31 et vole à bord d'un SPAD S.VII. Il combat dans les Flandres puis en dans la région de Reims. Le , il obtient sa troisième victoire. Le , obligeant un biplace ennemi à se poser dans les lignes françaises. Le , il participe à la destruction d'un chasseur ennemi attaquant un ballon captif. Le , il abat l'un des nouveaux Fokker Triplans[2].
Le , dans la région de Beaurieux, le sous-lieutenant Jules Covin est mortellement blessé lors d'un combat contre un groupe d'avions biplaces. Il se pose dans les lignes françaises puis meurt de ses blessures[2],[3].
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Distinctions
Il est reconnu « Mort pour la France »[4].
Chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume le [5];
Médaille militaire ()[2],[3],[5],[6];
Croix de guerre - (7 palmes)[2],[5],[6].
Notes et références
Voir aussi
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