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La Bataille syndicaliste
Journal syndicaliste révolutionnaire De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La Bataille syndicaliste, publié entre le et le , est un journal syndicaliste révolutionnaire.

La publication est généralement décrite comme l'« organe officieux » de la Confédération générale du travail (CGT) pour cette période[2],[3],[4],[5].
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Éléments historiques
Résumé
Contexte
D'abord quotidien : premier numéro le jeudi [1], dernier numéro (1638) le .
À partir de cette date, le journal change de titre et devient La Bataille, organe quotidien syndicaliste du au [6].
Il devient hebdomadaire à partir du n°1479 du [7].
Une série de concerts initiée par Albert Doyen (fondateur des Fêtes du Peuple) est organisée sous son égide en 1914.
Le quotidien édite quelques ouvrages[8].
Face à la Première Guerre mondiale
Le , le journal publie le Manifeste des Seize rédigé par Pierre Kropotkine et Jean Grave qui, dans le contexte de l'Union sacrée, prend publiquement parti pour le camp des Alliés et contre l’« agression allemande ». Ce texte s'oppose à la position de l'internationale anarchiste qui espère mettre fin au conflit par des mouvements de protestation populaire. Cette publication provoque de vifs débats au sein de la rédaction et du lectorat.
Contributeurs notoires

Des signatures notoires contribuent à la rédaction, comme Marcelle Capy, Georges Yvetot, Henri Zisly, Lucien Descaves, Amédée Dunois, Georges Eekhoud, Sébastien Faure, Victor Griffuelhes, James Guillaume, Léon Jouhaux, Leon Frapie, Charles-Ange Laisant, Charles Malato, Octave Mirbeau, Pierre Monatte, Christiaan Cornelissen (sous le pseudonyme de Rupert), Alfred Rosmer, etc.[9]
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Notes et références
Voir aussi
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