Lewis Wallace

Lewis Wallace, dit Lew Wallace, né aux États-Unis le 10 avril 1827 à Brookville dans l'Indiana et mort le 15 février 1905 à Crawfordsville (Indiana), a exercé plusieurs professions : avocat, juriste, diplomate, général de l'Armée de l'Union lors de la guerre de Sécession, gouverneur du territoire du Nouveau-Mexique de 1878 à 1881. De 1881 à 1885, il est ambassadeur des États-Unis dans l'Empire ottoman. Il est célèbre en tant qu'auteur du roman historique Ben-Hur, publié en 1880.

Lewis Wallace

Lewis Wallace en 1862.

Fonctions

Ambassadeur des États-Unis auprès de l'Empire ottoman (d)
1881-1885
Gouverneur du territoire du Nouveau-Mexique
29 septembre 1878 - 9 mars 1881
Samuel Beach Axtell (en) Lionel Allen Sheldon (en)
Membre du Sénat de l'Indiana
1857-1859

Biographie

Naissance	10 avril 1827 Brookville (Indiana)
Décès	15 février 1905 (à 77 ans) Crawfordsville (Indiana)
Sépulture	Oak Hill Cemetery (d)
Surnom	« Lew »
Nationalité	américaine
Allégeance	États-Unis d'Amérique Union
Activités	Officier, écrivain, journaliste, poète, juriste, homme politique, diplomate, romancier, avocat, militaire
Période d'activité	À partir de 1846
Père	David Wallace (en)
Mère	Esther French Wallace (d)
Conjoint	Susan Wallace (en)
Parentèle	John Test (en) (grand-père maternel) Zerelda G. Wallace (en) (belle-mère)

Autres informations

Partis politiques	Parti whig (jusqu'en 1847) Parti du solr libre (1848) Parti démocrate (1848-1861) Parti républicain (à partir de 1861)
Arme	Infanterie
Conflit	Guerre de Sécession Monocacy Junction
Grade	Major général

Œuvres principales

Ben-Hur

Signature

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Biographie

Lewis Wallace naît à Brookville dans l'Indiana le 10 avril 1827^[1]. Avant celle d'écrivain à succès, il connaît plusieurs vies, exerçant les professions d'avocat, juriste, diplomate, général de l'Armée de l'Union lors de la guerre de Sécession, gouverneur du Nouveau-Mexique de 1878 à 1881 puis, en 1881, ambassadeur en Turquie^[1].

En tant que gouverneur du territoire du Nouveau-Mexique, il s'oppose au fameux bandit Billy the Kid dont il met la tête à prix à 500 dollars^[1],[2],[3].

Passionné de littérature, il est également écrivain et devient célèbre pour son roman historique Ben-Hur, publié en 1880 et qui, en 1900, devient aux États-Unis le livre le plus vendu du XIX^e siècle, devançant La Case de l'oncle Tom de Harriet Beecher Stowe^[4],[5].

Le 15 février 1905, Lewis Wallace meurt à Crawfordsville (Indiana) à l'âge de 77 ans.

Œuvre

• The Fair God (Le Dieu Juste); or, The Last of the 'Tzins: A Tale of the Conquest of Mexico, Boston : James R. Osgood and Company, 1873.
• Commodus: An Historical Play, Crawfordsville, publié à titre privé, 1876 (révisé et réimprimé la même année).
• Ben-Hur: A Tale of the Christ, New York : Harper & Brothers, 1880.
• The Boyhood of Christ, New York : Harper & Brothers, 1888.
• Life of Gen. Ben Harrison (lié à Life of Hon. Levi P. Morton de George Alfred Townsend), Cleveland : N. G. Hamilton & Co., Publishers, 1888.
• Life of Gen. Ben Harrison, Philadelphie : Hubbard Brothers, Publishers, 1888.
• Life and Public Serives of Hon. Benjmain Harrison, President of the U.S. With a Concise Biographical Sketch of Hon. Whitelaw Reid, Ex-Minister to France (by Murat Halstad), Philadelphie : Edgewood Publishing Co., 1892.
• The Prince of India; or, Why Constantinople Fell, New York : Harper & Brothers Publishers, 1893. 2 volumes
• The Wooing of Malkatoon [and] Commodus, New York : Harper and Brothers Publishers, 1898.
• Lew Wallace: An Autobiography, New York : Harper & Brothers Publishers, 1906. 2 volumes.